Marine Rosset, candidate dans la 2ème circonscription de Paris

(c) Nathanaël Weibel

Nouveau volet dans notre série de podcasts natifs, exclusivement consacrés aux élections législatives à Paris et en région parisienne : Nathanaël Weibel, du service politique de Fréquence Protestante, est allé interviewer l’une des candidates de la 2ème circonscription.

Marine Rosset se présente au titre de la Nouvelle union populaire, écologique et sociale (NUPES).

Agée de 36 ans, elle a été professeure d’histoire-géographie en Seine-Saint-Denis dans une zone d’éducation prioritaire (ZEP) pendant dix ans. Elle a ensuite travaillé pour le Conseil départemental de Seine-Saint-Denis, chargée de la politique publique d’éducation. A ce titre, elle a supervisé la construction de nouveaux établissements scolaires, elle s’est occupée de la restauration, introduisant le “bio” et le “durable” dans les cantines scolaires. Marine Rosset est également investie depuis plusieurs années dans une association s’occupant d’éducation populaire, dont elle est aujourd’hui l’une des administratrices.

Suppléante d’Axel Kahn en 2012, elle a été candidate aux élections législatives de 2017. Conseillère municipale socialiste dans le 5ème arrondissement de Paris depuis 2020, elle défend différents dossiers, notamment l’encadrement des loyers, l’avenir du boulevard Saint-Michel, les droits des livreurs des plateformes et l’installation de composts.

Lors de la présentation officielle de sa candidature, elle a tenu un discours dont voici un bref extrait ci-dessous, celui où elle définit ce qu’est, pour elle, le mandat d’un parlementaire : “J’ai la République chevillée au corps. Je crois en la noblesse de la politique ; celle qui fait prévaloir le bien commun, l’intérêt général. Je crois en l’engagement au service de toutes et tous, sans céder aux intérêts particuliers. Je crois que notre avenir est ensemble, que l’altérité est une richesse, que nos différences font notre force commune. Rassurez-vous, je ne prétends pas arriver première à un concours de pureté républicaine, non. Mais je souhaite incarner l’image d’une parlementaire responsable, accessible, respectueuse, lucide et ferme sur ses convictions. C’est, je le crois, ce que les habitantes et les habitants de notre circonscription attendent et espèrent. Je veux être une parlementaire qui engage notre pays dans la lutte contre le dérèglement climatique. C’est l’affaire du siècle. C’est à notre génération de préparer un monde meilleur, vivable, habitable. Notre responsabilité commune est immense et je veux y prendre ma part.”

Retrouvez ici l’interview réalisée par Nathanaël Weibel, ainsi que sur votre plateforme de podcast préférée.

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