Si le télétravail s’est définitivement imposé comme une évolution acquise des conditions de travail, accélérée par la crise sanitaire, une autre révolution se dessine avec la semaine de 4 jours, sans réduction du temps de travail, ni de la rémunération des salariés. Cet objectif est-il réaliste ? Quels bénéfices les salariés peuvent-ils en tirer ? Ce rythme présente t’il des facteurs de risque de burn-out ? Les entreprises peuvent elles consentir à diminuer le temps de présence de leurs collaborateurs, et avec quels effets sur leurs performances ? Et surtout – comment faire ?
Notre invité a co-écrit avec Francis Boyer un ouvrage à paraître, consacré à la semaine de 4 jours, à travers interviews et analyse d’expériences. Thomas Laborey conseille les dirigeants depuis 15 ans et a réalisé une étude sur la faisabilité d’une semaine qui ne durerait que 4 jours, pour réconcilier les Français avec leur travail.