Une effrayante galerie de portraits, racontant en cent clichés l’histoire de la photographie dans l’enquête criminelle.
Longtemps la police a dû se contenter de simples descriptions orales ou écrites pour identifier les malfrats. Dès l’invention de la photographie, les policiers collectent des portraits artistiques existants, qui deviennent autant d’indices. En 1855, pour la première fois, le corps d’une femme assassinée est photographié, ce qui va permettre d’identifier la victime, puis de confondre le coupable, le tueur en série Dumollard. Avec Bertillon, à la fin du xixe siècle, la photographie devient scientifique : portraits anthropométriques et fixation des scènes de crime inaugurent l’ère moderne, avec de réels succès. Ces techniques françaises s’exportent rapidement : des bulletins de police criminelle circulent à travers le monde, donnant une nouvelle vie à l’avis de recherche. Mais y a-t-il vraiment des ” gueules d’assassin “, ou la photographie judiciaire ne rend-elle pas tout le monde terriblement patibulaire ?
Association dite loi de 1901 à but non lucratif, Fréquence Protestante propose des émissions tout public, dans la fidélité aux principes de la Réforme : liberté de conscience et d’opinion, écoute, respect des personnes, diversité.
Radio généraliste, Fréquence Protestante diffuse des émissions valorisant le débat d’idées, autour de trois termes : actualité, culture et arts.
©2022 - Fréquence protestante - Tous droits réservés - Conception : PUSH IT UP
©2022 - Fréquence protestante - Tous droits réservés - Conception : PUSH IT UP