On a tout dit de Piaf : qu’elle était une perfectionniste, un génie de la scène qui enflammait son public, une travailleuse acharnée, une amante passionnée, une noctambule facétieuse en même temps qu’une croyante ardente. Mais qui était la vraie Piaf ? Le chanteur et collectionneur de disques Steve Normandin lui consacre une étude approfondie, « Edith Piaf, l’icône méconnue », parue chez Hermann. Il sera en duplex du Québec avec nous. Nathalie Romier lui rend hommage avec son spectacle ‘Edith Piaf, Olympia 1961’, qui se joue à la Scène parisienne. Nathalie Miravette, enfin, nous propose un spectacle à quatre voix avec des chansons à susurrer, « Les voluptueuses », au Café de la danse le 18 décembre.
Steve Normandin Edith Piaf l’icône méconnue, éd. Hermann
Nathalie Romier. Edith Piaf, Olympia 1961
La scène parisienne, 34 rue Richer 9e, les mercredis à 19h30, les dimanches à 16 h jusqu’au 01 01 25. Le dernier concert de Piaf à l’Olympia. Renouant avec le même univers visuel et les mêmes chansons, dans le même ordre de passage, le spectacle est une réplique du récital que PIAF délivra à son public en 1961.
Nathalie Miravette « Les Voluptueuses » Café de la danse samedi 18 décembre à 20 heures. Chanter l’érotisme au féminin est le défi relevé par Nathalie Miravette, Dorothée Daniel, Noémie Lamour et Clélia Bressat-Blum, interprètes chanteuses et instrumentistes. Elles ont uni leurs talents et leur créativité pour célébrer la sensualité, l’érotisme et la volupté sous le prisme de l’écriture féminine. Sous-titre du spectacle : « chansons à susurrer ».
©2022 - Fréquence protestante - Tous droits réservés - Conception : PUSH IT UP
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