Mary Anne Evans choisit un pseudonyme masculin, comme George Sand, pour que ses œuvres ne soient pas taxées de « petits romans à l’eau de rose ». A l’époque de la reine Victoria en Angleterre, elle conte le destin contrarié d’héroïnes coincées dans des mariages qui ne les épanouissent pas, confrontées au qu’en dira-t-on.
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