Jean-Pierre Améris est un réalisateur que je suis depuis ses débuts et j’avais envie d’aborder avec lui ses influences, sa vision du cinéma, sa façon de travailler, son rapport aux acteurs et aux autres scénaristes.
C’est aussi l’occasion de parler de ses névroses, de ses souvenirs d’enfance, qui ont fait de lui le cinéaste qu’il est devenu aujourd’hui, et à qui l’on doit Le bateau de mariage, Les émotifs anonymes, Une famille à louer, Les mauvaises fréquentations, ou encore Les aveux de l’innocent, pour ne citer que ceux-là, et plus récemment bien-sûr, La profession du père et Les folies fermières.
Un matin, un bar d’hôtel, une conversation à bâtons-rompus pendant 45 mins avec Jean-Pierre Améris
