Il s’appelle Henri-Alban Fournier. Un jour, « Alain-Fournier » deviendra son nom de plume malgré lui, car un coureur automobile célèbre de l’époque lui dira « Henri Fournier, c’est moi. «
Le grand basculement de sa vie, celui qui fera qu’après rien ne sera plus comme avant, c’est le jeudi 1er juin 1905. Sa belle rencontre du Cours la Reine à Paris avec Yvonne de Quiévrecourt va engendrer une belle histoire d’amour impossible qu’il va transposer dans son roman « Le Grand Meaulnes », un roman qui reste parmi les plis lus, les plus envoutants de la langue française et qui faillit décrocher le prix Goncourt en 1913. Jean-Pierre Guéno a reconstitué les amours impossibles d’Henri avec Yvonne puis avec Jeanne, avec les mots tirés de ses lettres, de ses poèmes et de ses livres.
Retrouvez les plus belles lettres d’Alain-Fournier dans cet ouvrage, A l’ombre du Grand Meaulnes, aux éditions Le Passeur, adapté pour la radio par Fréquence Protestante.