Il est l’un des derniers chanteurs publics de Paris, et sa silhouette est aussi reconnaissable que sa voix et son instrument. Bonne humeur et souvenirs garantis.
Plongez dans l’univers singulier de Riton la Manivelle, l’un des derniers véritables chanteurs publics de Paris. Il ferait presque partie des meubles du “Vieux Belleville”. Depuis plus de quarante ans, ce personnage haut en couleur fait vibrer les rues et les bistrots de la capitale avec son orgue de barbarie, instrument emblématique qui lui a valu son surnom. Fidèle à son quartier de Belleville, Riton ravive chaque semaine au Vieux Belleville un répertoire riche de chansons populaires et engagées, mêlant les airs d’Édith Piaf, de Charles Trenet ou de Brassens aux chants révolutionnaires du XIXe siècle, âge d’or de la chanson politique. Tout son répertoire est compilé dans son livret “chansons à moustache” qu’il distribue à son auditoire. Victor Debuquoy est allé à la rencontre de Luc-Antoine Salmont, de son vrai nom, qui arpente le 20ème arrondissement de Paris.
Un témoignage a réécouter juste ci-dessous, ou sur toutes vos plateformes d’écoute :




