
L’existence humaine connaît «des hauts et des bas»; le langage humain également.
Parmi les «choses» à dire, certaines sont importantes,
d’autres secondaires.
Aurions-nous d’ailleurs quelque chose à dire si tout avait la même importance ?
Pourquoi parlons-nous ?
Ne cherchons-nous pas dans toutes nos paroles – et à travers
elles – celle qui vaut d’être dite?
Dans le discours parlé, l’enjeu d’un propos se manifeste à travers les
variations de la tonalité dans la voix de celui qui parle. Le langage écrit est
dépourvu d’une telle possibilité. Il en reste cependant une, que la distinction
minuscule/Majuscule nous offre ou nous propose.
A l’occasion du colloque « Au risque de la parole » organisé à la Faculté de Genève, en mai 2019, écoutons la Leçon d’adieu du professeur Hans-Christoph Askani, Vice-doyen et Professeur de théologie systématique.
C’est dans Vendredi Culture, c’est ce vendredi 6 décembre à 17h et c’est sur fréquence protestante.com