Le 20 janvier 2020, Roch-Olivier Maistre, président du CSA, lançait l’idée d’une grande fête de la radio pour permettre aux Français et à l’ensemble des stations de radios de métropole et d’Outremer de célébrer ce média du cœur, qui fait partie du quotidien de chacun. Grâce à la mobilisation de tous, cette idée est aujourd’hui devenue réalité. Le CSA et l’ensemble des radios partenaires, dont Fréquence Protestante, sont aujourd’hui heureux d’annoncer que la première « Fête de la radio » se déroulera dans toute la France à partir du 31 mai 2021.
Au premier jour de la fête de la radio, Fréquence Protestante organise un événement inédit dans son histoire : une nuit blanche à l’antenne.
Entre 20 h 30 et 5 h 30 du matin, CE LUNDI 31 MAI, quatre meneurs de jeu se succèderont pour accompagner une série d’interventions : interviews, virgules sonores, etc. Du direct et de l’inédit jusqu’au bout de la nuit !
En fil rouge tout au long de cette Nuit blanche : les “Premières fois” de Caroline Pastorelli. De courtes interviews de chanteurs et chanteuses populaires : Gilbert Montagné, Murray Head, Bernie Bonvoisin, Nicoletta, Daniel Guichard et Frédéric François racontent leur “première fois à l’antenne”, lorsqu’ils ont débuté leur carrière musicale.
Première tranche horaire : 20 h 30 – 23 h 30 animée par Valérie Thorin, journaliste et rédactrice en chef pour Fréquence Protestante.
Après avoir présenté ses “camarades de jeu” et confrères, à savoir Frédérick Casadesus, Pierre Gaffié et Raphaël Melki, elle recevra le président de Fréquence Protestante, Michel Vaquin.
Première “Guest Star” à 21 h : Hervé Godechot. Membre du CSA et président du Groupe de travail Radios et audio numérique, il sera reçu par Myriam Lemaire, animatrice régulière de deux émissions sur Fréquence Protestante : Un œil sur la télé et Dialogues.
À 21 h 30, Jean-Pierre Guéno viendra dire quelques mots à propos de la “magie de la radio de nuit”. Écrivain, auteur des célébrissimes “paroles de poilus” mais avant tout homme de radio, il entrainera les auditeurs dans un voyage nocturne sur les “ondes de nuit”. Ce moment se poursuivra ensuite avec quelques souvenirs de la création de Fréquence Protestante, en compagnie de Claude Boulanger, animatrice vedette du Midi Magazine, et des extraits d’un entretien avec Claudine Castelnau, ancienne journaliste du magazine Réforme et le pasteur Pierre Zentz, l’un des fondateurs de la radio.
La parole sera ensuite donnée à Hédi Benalla et Thomas Basselier pour un voyage en jingle et en musique à travers l’histoire générale de la radio, avec toutes les émissions emblématiques que nous avons aimées.
À 23 h 30, ce sera au tour de Frédérick Casadesus d’animer la soirée.
Il recevra les confidences de Jean-Noël Jeanneney, historien et homme politique, ancien président de Radio France et de RFI. Puis, après deux courts moments en compagnie de Jenny Raflik, maître de Conférence en histoire contemporaine et Olivier Grenouilleau, à minuit, ce sera le tour de Michael Lévinas, pianiste et compositeur, qui parlera entre autres de son père, le philosophe Emmanuel Levinas… En direct sur le plateau, la bien connue Emmanuelle Klein, animatrice d’Oxebo et de Des notes dans le micro, une grande spécialiste de la BD et de la musique.
Le milieu de la nuit, de 1h30 à 3h30, appartiendra à Pierre Gaffié et à son invitée, Mathilda May, pour un dialogue riche en rebondissement…
A 3 h 30 du matin, c’est Raphaël Melki terminera cette exceptionnelle Nuit blanche en direct depuis le studio de Fréquence Protestante à Paris, avec Fabrice Sapolsky à Los Angeles.
Fin connaisseur de la musique de Minneapolis, c’est aussi un complice de bien des années passées dans la proximité familière de Prince, le musicien américain. Fabrice Sapolski est aujourd’hui éditeur de Bandes Dessinées aux États-Unis, et également de l’ouvrage MPLS Sound paru aux Humanoids Associés. En studio et en direct également, malgré l’heure – tardive ou matutinale, comme on veut – Emmanuel Taïeb, professeur de sciences politiques, animateur de La Valeur de l’homme sur Fréquence Protestante, histoire d’évoquer ensemble quelques questions cruciales susceptibles de nous préoccuper, y compris à 5 h du matin.