Thématique Art
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juillet
août
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Si Monsieur Thiers est bien connu comme homme politique, on ignore bien souvent son appétence pour le collectionnisme, développé très tôt chez lui. Grâce à son mariage avec Elise Dosne, fille d’un agent de change, il put réunir une vaste collection d’œuvres et d’objets d’art. L’exposition présentée à la bibliothèque Mazarine révèle la collection d’estampes qu’il constitua dans un deuxième temps. Parmi les œuvres exposées, Albrecht Dürer voisine avec Martin Schongauer. On retiendra Callot et des scènes de genre d’Abraham Bosse. Rembrandt ne pouvait être absent de la collection d’Adolphe Thiers tandis que d’autres estampes du Siècle d’Or hollandais viennent compléter cet ensemble.
Si Monsieur Thiers est bien connu comme homme politique, on ignore bien souvent son appétence pour le collectionnisme, développé très tôt chez lui. Grâce à son mariage avec Elise Dosne, fille d’un agent de change, il put réunir une vaste collection d’œuvres et d’objets d’art. L’exposition présentée à la bibliothèque Mazarine révèle la collection d’estampes qu’il constitua dans un deuxième temps. Parmi les œuvres exposées, Albrecht Dürer voisine avec Martin Schongauer. On retiendra Callot et des scènes de genre d’Abraham Bosse. Rembrandt ne pouvait être absent de la collection d’Adolphe Thiers tandis que d’autres estampes du Siècle d’Or hollandais viennent compléter cet ensemble.
Si Monsieur Thiers est bien connu comme homme politique, on ignore bien souvent son appétence pour le collectionnisme, développé très tôt chez lui. Grâce à son mariage avec Elise Dosne, fille d’un agent de change, il put réunir une vaste collection d’œuvres et d’objets d’art. L’exposition présentée à la bibliothèque Mazarine révèle la collection d’estampes qu’il constitua dans un deuxième temps. Parmi les œuvres exposées, Albrecht Dürer voisine avec Martin Schongauer. On retiendra Callot et des scènes de genre d’Abraham Bosse. Rembrandt ne pouvait être absent de la collection d’Adolphe Thiers tandis que d’autres estampes du Siècle d’Or hollandais viennent compléter cet ensemble.
Si Monsieur Thiers est bien connu comme homme politique, on ignore bien souvent son appétence pour le collectionnisme, développé très tôt chez lui. Grâce à son mariage avec Elise Dosne, fille d’un agent de change, il put réunir une vaste collection d’œuvres et d’objets d’art. L’exposition présentée à la bibliothèque Mazarine révèle la collection d’estampes qu’il constitua dans un deuxième temps. Parmi les œuvres exposées, Albrecht Dürer voisine avec Martin Schongauer. On retiendra Callot et des scènes de genre d’Abraham Bosse. Rembrandt ne pouvait être absent de la collection d’Adolphe Thiers tandis que d’autres estampes du Siècle d’Or hollandais viennent compléter cet ensemble.
Derrière les éclats de verre colorés et les reflets changeants, il y a des mains, un regard, une voix. Celle d’Emmanuelle Andrieux, maître verrier à la Maison du Vitrail dans le 15e arrondissement de Paris. Formée à la tradition autant qu’ouverte à l’expérimentation, elle perpétue un savoir-faire rare avec passion. Dans son atelier baigné de lumière, elle coupe, assemble, soude, patine… Chaque pièce devient un récit, un fragment de lumière mis en scène par le geste. Rencontre avec une artisane de l’ombre, qui fait parler la lumière.
Réalisation : Clara Milla
Derrière les éclats de verre colorés et les reflets changeants, il y a des mains, un regard, une voix. Celle d’Emmanuelle Andrieux, maître verrier à la Maison du Vitrail dans le 15e arrondissement de Paris. Formée à la tradition autant qu’ouverte à l’expérimentation, elle perpétue un savoir-faire rare avec passion. Dans son atelier baigné de lumière, elle coupe, assemble, soude, patine… Chaque pièce devient un récit, un fragment de lumière mis en scène par le geste. Rencontre avec une artisane de l’ombre, qui fait parler la lumière.
Réalisation : Clara Milla
Partout dans le monde, d’étranges mosaïques pixelisées apparaissent sur les murs. À Paris, elles sont particulièrement nombreuses. On les appelle les Invaders. Nicolas les traque, les photographie et les collectionne depuis des années. Plongée dans une chasse urbaine pas comme les autres.
Réalisation : Manuela Delannay-Coffi
Derrière les éclats de verre colorés et les reflets changeants, il y a des mains, un regard, une voix. Celle d’Emmanuelle Andrieux, maître verrier à la Maison du Vitrail dans le 15e arrondissement de Paris. Formée à la tradition autant qu’ouverte à l’expérimentation, elle perpétue un savoir-faire rare avec passion. Dans son atelier baigné de lumière, elle coupe, assemble, soude, patine… Chaque pièce devient un récit, un fragment de lumière mis en scène par le geste. Rencontre avec une artisane de l’ombre, qui fait parler la lumière.
Réalisation : Clara Milla
Joseph Cui / directeur d’espace temps, commissaire d’exposition et critique d’art
Liu Guangli / artiste et réalisateur chinois
Thomas Garnier / artiste contemporain et plasticien français
Partout dans le monde, d’étranges mosaïques pixelisées apparaissent sur les murs. À Paris, elles sont particulièrement nombreuses. On les appelle les Invaders. Nicolas les traque, les photographie et les collectionne depuis des années. Plongée dans une chasse urbaine pas comme les autres.
Réalisation : Manuela Delannay-Coffi
Artiste autodidacte, Richard Laillier se distingue par une démarche singulière : faire jaillir la lumière grâce à des pierres noires. Mais où puise-t-il son inspiration ? Comment conçoit-il ses expositions ? Quel regard porte-t-il sur l’émergence de l’intelligence artificielle dans le monde de l’art ? Et quelles sont, pour lui, les étapes les plus complexes du processus créatif ? Pour répondre à ces questions et découvrir les coulisses du métier d’artiste, Fréquence Protestante s’est rendue dans son atelier, situé au 51 rue de Presles, à Aubervilliers.
Réalisation : Alix Lestage
Joseph Cui / directeur d’espace temps, commissaire d’exposition et critique d’art
Liu Guangli / artiste et réalisateur chinois
Thomas Garnier / artiste contemporain et plasticien français
Artiste autodidacte, Richard Laillier se distingue par une démarche singulière : faire jaillir la lumière grâce à des pierres noires. Mais où puise-t-il son inspiration ? Comment conçoit-il ses expositions ? Quel regard porte-t-il sur l’émergence de l’intelligence artificielle dans le monde de l’art ? Et quelles sont, pour lui, les étapes les plus complexes du processus créatif ? Pour répondre à ces questions et découvrir les coulisses du métier d’artiste, Fréquence Protestante s’est rendue dans son atelier, situé au 51 rue de Presles, à Aubervilliers.
Réalisation : Alix Lestage
Artiste autodidacte, Richard Laillier se distingue par une démarche singulière : faire jaillir la lumière grâce à des pierres noires. Mais où puise-t-il son inspiration ? Comment conçoit-il ses expositions ? Quel regard porte-t-il sur l’émergence de l’intelligence artificielle dans le monde de l’art ? Et quelles sont, pour lui, les étapes les plus complexes du processus créatif ? Pour répondre à ces questions et découvrir les coulisses du métier d’artiste, Fréquence Protestante s’est rendue dans son atelier, situé au 51 rue de Presles, à Aubervilliers.
Réalisation : Alix Lestage
Artiste autodidacte, Richard Laillier se distingue par une démarche singulière : faire jaillir la lumière grâce à des pierres noires. Mais où puise-t-il son inspiration ? Comment conçoit-il ses expositions ? Quel regard porte-t-il sur l’émergence de l’intelligence artificielle dans le monde de l’art ? Et quelles sont, pour lui, les étapes les plus complexes du processus créatif ? Pour répondre à ces questions et découvrir les coulisses du métier d’artiste, Fréquence Protestante s’est rendue dans son atelier, situé au 51 rue de Presles, à Aubervilliers.
Réalisation : Alix Lestage
< Alice Legé, co-commissaire de l’exposition « Maximilien Luce, l’instinct du paysage», Musée de Montmartre, Paris
< Hélène Leroy, co-commissaire de l’exposition « Gabriele Münter, peindre sans détours », Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris, Paris
Deux artistes nés au 19e siècle avec un tempérament indépendant : le parisien Maximilien Luce au musée de Montmartre et l’allemande Gabriele Münter au Musée d’art moderne de la Ville de Paris. Pour en parler : Alice Legé et Hélène Leroy.
Maximilien Luce (1858 – 1941) est un parisien pur jus qui a vécu dans sa jeunesse sur la butte Montmartre. Rangé dans la catégorie des néo-impressionnistes, c’est surtout un artiste indépendant, anarchiste, qui développe de façon très personnelle une touche divisionniste, marqué par sa rencontre avec Signac et Seurat. Il peint les chantiers de Paris, la nature d’une banlieue bucolique, les boucles de la Seine, comme celle de Rolleboise où il achète une maison.
Gabriele Münter (1877 – 1962) est une figure éminente de l’expressionnisme allemand et du Blaue Reuter et malheureusement trop connue pour avoir été l’élève et la compagne de Wassily Kandinsky. Cette exposition remet les pendules à l’heure avec 60 ans de création mise en lumière d’une artiste qui n’a jamais cessé d’évoluer et de capter le monde invisible et l’essence du motif. Murie par le Fauvisme, la Nouvelle Objectivité, les paysages de sa maison bavaroise à Murnau, elle demeure juste libre et indépendante toute sa vie.
août
04aoû13h4514h00Les très riches heures du duc de Berry13h45 - 14h00(GMT+02:00) ÉmissionClin d’œil
Conservé au musée Condé de Chantilly, le plus célèbre manuscrit enluminé du monde, commandé par le duc de Berry aux frères Limbourg, fait l’objet d’une rarissime exposition, consécutive à son étude scientifique et à sa restauration, échelonnées sur plusieurs années. Exceptionnellement, le visiteur pourra voir les fameux feuillets du calendrier déreliés, lisibles recto-verso , présentés verticalement. Le livre, présenté dans une vitrine, est ouvert sur une double page, régulièrement changée selon un calendrier consultable sur le site du musée.
L’exposition met en relief l’influence décisive des Riches Heures sur les artistes contemporains et suiveurs qui s’inspirent de motifs trouvés dans le manuscrit.
Grâce à des prêts remarquables issus de collections françaises et étrangères, le duc de Berry est évoqué dans une première partie de l’exposition, qui introduit le visiteur au contexte de la création du célébrissime manuscrit dont on a pu dire qu’il est « plus facile de rencontrer le pape ou le président des Etats-Unis que de toucher les Très Riches Heures » (Christopher de Hamel, spécialiste britannique de l’enluminure médiévale).
En parallèle, une exposition sur Les livres d’Heures, conservés à la bibliothèque du château , y est présentée.
Marie-Pierre Dion conservateur général des bibliothèques
Chargée des livres et des archives du Château de Chantilly
Co-commissaire de l’exposition
05aoû16h4517h00Les très riches heures du duc de Berry16h45 - 17h00(GMT+02:00) ÉmissionClin d’œil
Conservé au musée Condé de Chantilly, le plus célèbre manuscrit enluminé du monde, commandé par le duc de Berry aux frères Limbourg, fait l’objet d’une rarissime exposition, consécutive à son étude scientifique et à sa restauration, échelonnées sur plusieurs années. Exceptionnellement, le visiteur pourra voir les fameux feuillets du calendrier déreliés, lisibles recto-verso , présentés verticalement. Le livre, présenté dans une vitrine, est ouvert sur une double page, régulièrement changée selon un calendrier consultable sur le site du musée.
L’exposition met en relief l’influence décisive des Riches Heures sur les artistes contemporains et suiveurs qui s’inspirent de motifs trouvés dans le manuscrit.
Grâce à des prêts remarquables issus de collections françaises et étrangères, le duc de Berry est évoqué dans une première partie de l’exposition, qui introduit le visiteur au contexte de la création du célébrissime manuscrit dont on a pu dire qu’il est « plus facile de rencontrer le pape ou le président des Etats-Unis que de toucher les Très Riches Heures » (Christopher de Hamel, spécialiste britannique de l’enluminure médiévale).
En parallèle, une exposition sur Les livres d’Heures, conservés à la bibliothèque du château , y est présentée.
Marie-Pierre Dion conservateur général des bibliothèques
Chargée des livres et des archives du Château de Chantilly
Co-commissaire de l’exposition
06aoû19h4520h00Les très riches heures du duc de Berry19h45 - 20h00(GMT+02:00) ÉmissionClin d’œil
Conservé au musée Condé de Chantilly, le plus célèbre manuscrit enluminé du monde, commandé par le duc de Berry aux frères Limbourg, fait l’objet d’une rarissime exposition, consécutive à son étude scientifique et à sa restauration, échelonnées sur plusieurs années. Exceptionnellement, le visiteur pourra voir les fameux feuillets du calendrier déreliés, lisibles recto-verso , présentés verticalement. Le livre, présenté dans une vitrine, est ouvert sur une double page, régulièrement changée selon un calendrier consultable sur le site du musée.
L’exposition met en relief l’influence décisive des Riches Heures sur les artistes contemporains et suiveurs qui s’inspirent de motifs trouvés dans le manuscrit.
Grâce à des prêts remarquables issus de collections françaises et étrangères, le duc de Berry est évoqué dans une première partie de l’exposition, qui introduit le visiteur au contexte de la création du célébrissime manuscrit dont on a pu dire qu’il est « plus facile de rencontrer le pape ou le président des Etats-Unis que de toucher les Très Riches Heures » (Christopher de Hamel, spécialiste britannique de l’enluminure médiévale).
En parallèle, une exposition sur Les livres d’Heures, conservés à la bibliothèque du château , y est présentée.
Marie-Pierre Dion conservateur général des bibliothèques
Chargée des livres et des archives du Château de Chantilly
Co-commissaire de l’exposition
07aoû22h4523h00Les très riches heures du duc de Berry22h45 - 23h00(GMT+02:00) ÉmissionClin d’œil
Conservé au musée Condé de Chantilly, le plus célèbre manuscrit enluminé du monde, commandé par le duc de Berry aux frères Limbourg, fait l’objet d’une rarissime exposition, consécutive à son étude scientifique et à sa restauration, échelonnées sur plusieurs années. Exceptionnellement, le visiteur pourra voir les fameux feuillets du calendrier déreliés, lisibles recto-verso , présentés verticalement. Le livre, présenté dans une vitrine, est ouvert sur une double page, régulièrement changée selon un calendrier consultable sur le site du musée.
L’exposition met en relief l’influence décisive des Riches Heures sur les artistes contemporains et suiveurs qui s’inspirent de motifs trouvés dans le manuscrit.
Grâce à des prêts remarquables issus de collections françaises et étrangères, le duc de Berry est évoqué dans une première partie de l’exposition, qui introduit le visiteur au contexte de la création du célébrissime manuscrit dont on a pu dire qu’il est « plus facile de rencontrer le pape ou le président des Etats-Unis que de toucher les Très Riches Heures » (Christopher de Hamel, spécialiste britannique de l’enluminure médiévale).
En parallèle, une exposition sur Les livres d’Heures, conservés à la bibliothèque du château , y est présentée.
Marie-Pierre Dion conservateur général des bibliothèques
Chargée des livres et des archives du Château de Chantilly
Co-commissaire de l’exposition
Au cours des siècles, Cléopâtre VII, grande figure féminine de l’histoire et dernière souveraine d’Égypte a marqué et marque toujours les esprits. Mais connaissez-vous réellement Cléopâtre ? Son rôle crucial dans les relations politiques de son temps permet de faire régner la paix pendant les vingt années de son règne.
Préférant se suicider plutôt que de se rendre aux Romains, Cléopâtre VII fait preuve d’une résistance sans faille et devient ainsi une icône des luttes identitaires et émancipatrices. Sa mort héroïque se révèle être une inépuisable source d’inspiration pour les artistes de l’époque et ceux d’aujourd’hui.
Mais qui est Cléopâtre VII ? Pourquoi Rome s’intéresse-t-elle tant à l’Égypte à cette époque ? Comment Cléopâtre se présente-elle à César ? Pourquoi la souveraine égyptienne était-elle si peu aimée des Romains ?
Pour répondre à toutes ces questions, nous rencontrons Claude Mollard, commissaire de l’exposition “Le Mystère Cléopâtre” à l’Institut du monde arabe.
Réalisation : Alix Lestage.
16aoû13h1514h00ARTHUR FRANCIETTA13h15 - 14h00(GMT+02:00) AnimateurPlanty LucieÉmissionTempo de l'art
ARTHUR FRANCIETTA, artiste plasticien
Au cours des siècles, Cléopâtre VII, grande figure féminine de l’histoire et dernière souveraine d’Égypte a marqué et marque toujours les esprits. Mais connaissez-vous réellement Cléopâtre ? Son rôle crucial dans les relations politiques de son temps permet de faire régner la paix pendant les vingt années de son règne.
Préférant se suicider plutôt que de se rendre aux Romains, Cléopâtre VII fait preuve d’une résistance sans faille et devient ainsi une icône des luttes identitaires et émancipatrices. Sa mort héroïque se révèle être une inépuisable source d’inspiration pour les artistes de l’époque et ceux d’aujourd’hui.
Mais qui est Cléopâtre VII ? Pourquoi Rome s’intéresse-t-elle tant à l’Égypte à cette époque ? Comment Cléopâtre se présente-elle à César ? Pourquoi la souveraine égyptienne était-elle si peu aimée des Romains ?
Pour répondre à toutes ces questions, nous rencontrons Claude Mollard, commissaire de l’exposition “Le Mystère Cléopâtre” à l’Institut du monde arabe.
Réalisation : Alix Lestage.
18aoû20h0020h45ARTHUR FRANCIETTA20h00 - 20h45(GMT+02:00) AnimateurPlanty LucieÉmissionTempo de l'art
ARTHUR FRANCIETTA, artiste plasticien
L’exposition autour de Philippe Decouflé au Centre national du Costume et de la Scène de Moulins
L’exposition autour de Philippe Decouflé au Centre national du Costume et de la Scène de Moulins
L’exposition autour de Philippe Decouflé au Centre national du Costume et de la Scène de Moulins
L’exposition autour de Philippe Decouflé au Centre national du Costume et de la Scène de Moulins
< Alice Legé, co-commissaire de l’exposition « Maximilien Luce, l’instinct du paysage», Musée de Montmartre, Paris
< Hélène Leroy, co-commissaire de l’exposition « Gabriele Münter, peindre sans détours », Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris, Paris
Deux artistes nés au 19e siècle avec un tempérament indépendant : le parisien Maximilien Luce au musée de Montmartre et l’allemande Gabriele Münter au Musée d’art moderne de la Ville de Paris. Pour en parler : Alice Legé et Hélène Leroy.
Maximilien Luce (1858 – 1941) est un parisien pur jus qui a vécu dans sa jeunesse sur la butte Montmartre. Rangé dans la catégorie des néo-impressionnistes, c’est surtout un artiste indépendant, anarchiste, qui développe de façon très personnelle une touche divisionniste, marqué par sa rencontre avec Signac et Seurat. Il peint les chantiers de Paris, la nature d’une banlieue bucolique, les boucles de la Seine, comme celle de Rolleboise où il achète une maison.
Gabriele Münter (1877 – 1962) est une figure éminente de l’expressionnisme allemand et du Blaue Reuter et malheureusement trop connue pour avoir été l’élève et la compagne de Wassily Kandinsky. Cette exposition remet les pendules à l’heure avec 60 ans de création mise en lumière d’une artiste qui n’a jamais cessé d’évoluer et de capter le monde invisible et l’essence du motif. Murie par le Fauvisme, la Nouvelle Objectivité, les paysages de sa maison bavaroise à Murnau, elle demeure juste libre et indépendante toute sa vie.
Partout dans le monde, d’étranges mosaïques pixelisées apparaissent sur les murs. À Paris, elles sont particulièrement nombreuses. On les appelle les Invaders. Nicolas les traque, les photographie et les collectionne depuis des années. Plongée dans une chasse urbaine pas comme les autres.
Réalisation : Manuela Delannay-Coffi
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