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« L’intelligence artificielle dans l’art et le luxe : quelles sont les avancées technologiques ? ». Loïc Schappacher, CEO Metagellan et collecOnline
« L’intelligence artificielle dans l’art et le luxe : quelles sont les avancées technologiques ? ». Loïc Schappacher, CEO Metagellan et collecOnline
« L’intelligence artificielle dans l’art et le luxe : quelles sont les avancées technologiques ? ». Loïc Schappacher, CEO Metagellan et collecOnline
« L’intelligence artificielle dans l’art et le luxe : quelles sont les avancées technologiques ? ». Loïc Schappacher, CEO Metagellan et collecOnline
LE LIVRE :
L’intelligence artificielle. Elle lutte contre la fraude et détruit des emplois, promeut l’éducation et favorise la triche, donne accès au savoir
et propage les fake news. Elle nous obsède et nous effraie, mais qui est-elle réellement ? Grâce à une série d’anecdotes, d’épisodes
méconnus, de contes et de micro-récits, Laura Sibony dresse un état des lieux. Elle raconte sans les juger les principaux concepts de
l’I.A., ses enjeux et ses conséquences.
Au lieu de s’appuyer sur un discours théorique, c’est à travers des dizaines d’histoires qu’elle nous permet de saisir au mieux ce qu’est
l’intelligence artificielle – et ce qu’elle n’est pas. Ce qu’elle peut changer – et ce qu’elle ne pourra jamais changer. Ce qu’elle promet – et
les promesses qu’elle n’arrivera pas à tenir. Une partie d’échecs entre Napoléon et le Turc mécanique, un algorithme pour reconnaître
les fromages, la voix artificielle des patients atteints de la maladie de Charcot ou encore Poutine en décolleté : le machine learning, les
deepfakes ou le tagging se pensent en images.
Loin de se limiter aux aspects techniques, Laura Sibony nous emmène dans les coulisses de la Silicon Valley et nous transporte au
Kenya, chez les éboueurs de l’IA. Fantasia, ce sont des textes aussi drôles que pédagogiques, un voyage pour comprendre l’objet de
nos fantasmes et de nos craintes les plus profondes : l’intelligence artificielle.
L’AUTEUR :
Diplômée de Sciences Po, de la Sorbonne et d’HEC, Laura Sibony a travaillé pour Google Arts & Culture, avant d’enseigner les bases
de l’intelligence artificielle, à HEC et en entreprise. Elle est notamment l’autrice de L’École de la Parole (Hachette, 2020) et de Bien parler
en public (Marabout, 2022). Fantasia est son premier ouvrage sur l’intelligence artificielle.
LE LIVRE :
L’intelligence artificielle. Elle lutte contre la fraude et détruit des emplois, promeut l’éducation et favorise la triche, donne accès au savoir
et propage les fake news. Elle nous obsède et nous effraie, mais qui est-elle réellement ? Grâce à une série d’anecdotes, d’épisodes
méconnus, de contes et de micro-récits, Laura Sibony dresse un état des lieux. Elle raconte sans les juger les principaux concepts de
l’I.A., ses enjeux et ses conséquences.
Au lieu de s’appuyer sur un discours théorique, c’est à travers des dizaines d’histoires qu’elle nous permet de saisir au mieux ce qu’est
l’intelligence artificielle – et ce qu’elle n’est pas. Ce qu’elle peut changer – et ce qu’elle ne pourra jamais changer. Ce qu’elle promet – et
les promesses qu’elle n’arrivera pas à tenir. Une partie d’échecs entre Napoléon et le Turc mécanique, un algorithme pour reconnaître
les fromages, la voix artificielle des patients atteints de la maladie de Charcot ou encore Poutine en décolleté : le machine learning, les
deepfakes ou le tagging se pensent en images.
Loin de se limiter aux aspects techniques, Laura Sibony nous emmène dans les coulisses de la Silicon Valley et nous transporte au
Kenya, chez les éboueurs de l’IA. Fantasia, ce sont des textes aussi drôles que pédagogiques, un voyage pour comprendre l’objet de
nos fantasmes et de nos craintes les plus profondes : l’intelligence artificielle.
L’AUTEUR :
Diplômée de Sciences Po, de la Sorbonne et d’HEC, Laura Sibony a travaillé pour Google Arts & Culture, avant d’enseigner les bases
de l’intelligence artificielle, à HEC et en entreprise. Elle est notamment l’autrice de L’École de la Parole (Hachette, 2020) et de Bien parler
en public (Marabout, 2022). Fantasia est son premier ouvrage sur l’intelligence artificielle.
LE LIVRE :
L’intelligence artificielle. Elle lutte contre la fraude et détruit des emplois, promeut l’éducation et favorise la triche, donne accès au savoir
et propage les fake news. Elle nous obsède et nous effraie, mais qui est-elle réellement ? Grâce à une série d’anecdotes, d’épisodes
méconnus, de contes et de micro-récits, Laura Sibony dresse un état des lieux. Elle raconte sans les juger les principaux concepts de
l’I.A., ses enjeux et ses conséquences.
Au lieu de s’appuyer sur un discours théorique, c’est à travers des dizaines d’histoires qu’elle nous permet de saisir au mieux ce qu’est
l’intelligence artificielle – et ce qu’elle n’est pas. Ce qu’elle peut changer – et ce qu’elle ne pourra jamais changer. Ce qu’elle promet – et
les promesses qu’elle n’arrivera pas à tenir. Une partie d’échecs entre Napoléon et le Turc mécanique, un algorithme pour reconnaître
les fromages, la voix artificielle des patients atteints de la maladie de Charcot ou encore Poutine en décolleté : le machine learning, les
deepfakes ou le tagging se pensent en images.
Loin de se limiter aux aspects techniques, Laura Sibony nous emmène dans les coulisses de la Silicon Valley et nous transporte au
Kenya, chez les éboueurs de l’IA. Fantasia, ce sont des textes aussi drôles que pédagogiques, un voyage pour comprendre l’objet de
nos fantasmes et de nos craintes les plus profondes : l’intelligence artificielle.
L’AUTEUR :
Diplômée de Sciences Po, de la Sorbonne et d’HEC, Laura Sibony a travaillé pour Google Arts & Culture, avant d’enseigner les bases
de l’intelligence artificielle, à HEC et en entreprise. Elle est notamment l’autrice de L’École de la Parole (Hachette, 2020) et de Bien parler
en public (Marabout, 2022). Fantasia est son premier ouvrage sur l’intelligence artificielle.
LE LIVRE :
L’intelligence artificielle. Elle lutte contre la fraude et détruit des emplois, promeut l’éducation et favorise la triche, donne accès au savoir
et propage les fake news. Elle nous obsède et nous effraie, mais qui est-elle réellement ? Grâce à une série d’anecdotes, d’épisodes
méconnus, de contes et de micro-récits, Laura Sibony dresse un état des lieux. Elle raconte sans les juger les principaux concepts de
l’I.A., ses enjeux et ses conséquences.
Au lieu de s’appuyer sur un discours théorique, c’est à travers des dizaines d’histoires qu’elle nous permet de saisir au mieux ce qu’est
l’intelligence artificielle – et ce qu’elle n’est pas. Ce qu’elle peut changer – et ce qu’elle ne pourra jamais changer. Ce qu’elle promet – et
les promesses qu’elle n’arrivera pas à tenir. Une partie d’échecs entre Napoléon et le Turc mécanique, un algorithme pour reconnaître
les fromages, la voix artificielle des patients atteints de la maladie de Charcot ou encore Poutine en décolleté : le machine learning, les
deepfakes ou le tagging se pensent en images.
Loin de se limiter aux aspects techniques, Laura Sibony nous emmène dans les coulisses de la Silicon Valley et nous transporte au
Kenya, chez les éboueurs de l’IA. Fantasia, ce sont des textes aussi drôles que pédagogiques, un voyage pour comprendre l’objet de
nos fantasmes et de nos craintes les plus profondes : l’intelligence artificielle.
L’AUTEUR :
Diplômée de Sciences Po, de la Sorbonne et d’HEC, Laura Sibony a travaillé pour Google Arts & Culture, avant d’enseigner les bases
de l’intelligence artificielle, à HEC et en entreprise. Elle est notamment l’autrice de L’École de la Parole (Hachette, 2020) et de Bien parler
en public (Marabout, 2022). Fantasia est son premier ouvrage sur l’intelligence artificielle.
août
Sousveillance. Face à une surveillance généralisée, comment reprendre le pouvoir, comment renverser les rôles ? Laissons les artistes nous inspirer… Jean-Paul Fourmentraux, socio-anthropologue et critique d’art, professeur à l’Université d’Aix-Marseille et membre du Centre Norbert Elias. “Souveillance, l’oeil du contre-pouvoir” ed Les presses du réel
Sousveillance. Face à une surveillance généralisée, comment reprendre le pouvoir, comment renverser les rôles ? Laissons les artistes nous inspirer… Jean-Paul Fourmentraux, socio-anthropologue et critique d’art, professeur à l’Université d’Aix-Marseille et membre du Centre Norbert Elias. “Souveillance, l’oeil du contre-pouvoir” ed Les presses du réel
Enfants et Adolescents : les dangers de la surexposition aux écrans et comment les protéger.
Sabine DUFLO Psychologue-Clinicienne et Thérapeute Familiale
Il y a quelques décennies, la télévision déjà, nous fascinait … Aujourd’hui place aux objets numériques, des écrans, nomades ou pas : ordinateur, smartphone, tablette, console de jeux ou télévision ; des écrans, qui ont colonisés nos espaces, omniprésents au quotidien ! En 2022, selon l’entreprise de sondage Ipsos, on ne compte pas moins de 6,4 équipements par foyer et une moyenne de 6h, passées chaque jour, par les jeunes sur les écrans ! Notre « environnement » numérique serait-il à l’origine de troubles chez nos enfants et nos adolescents ? Les écrans seraient-ils neurotoxiques ? Mais alors comment reprendre le contrôle ? Quelles solutions pour permettre à l’enfant de retrouver le cours normal de sa vie ?
Livre « Il ne décroche pas des écrans ! Comment protéger nos enfants et nos adolescents » Editions de l’échappée collection Poche.
Site : Sabineduflo.fr
L’individu, fin de parcours ? Le piège de l’intelligence artificielle
Avec Julien Gobin – Économiste et philosophe.
Notre époque est celle de l’individu triomphant. L’ébranlement du cadre collectif que provoque cette affirmation irrésistible alimente chez beaucoup le sentiment d’un déclin irrémédiable de l’Occident. En réalité, suggère Julien Gobin, ce « déclin » est à comprendre comme le signe d’une métamorphose civilisationnelle qui, à mesure qu’elle renforce le règne de l’individu, pourrait bien ruiner son ressort primordial : le libre arbitre. C’est là l’ambiguïté du transhumanisme. Si, d’un côté, les avancées des sciences et des techniques rapprochent l’horizon d’une humanité toujours plus autonome, les ressources de l’intelligence artificielle risquent d’être un piège pour l’individu en majesté. Dans un monde devenu ultra complexe et connecté, ne va-t-il pas être tenté de substituer l’intelligence artificielle à la sienne pour guider sa vie ? Auquel cas, son émancipation se retournerait en aliénation finale. Est-ce le sort qui nous attend ?
L’individu, fin de parcours ? Le piège de l’intelligence artificielle
Avec Julien Gobin – Économiste et philosophe.
Notre époque est celle de l’individu triomphant. L’ébranlement du cadre collectif que provoque cette affirmation irrésistible alimente chez beaucoup le sentiment d’un déclin irrémédiable de l’Occident. En réalité, suggère Julien Gobin, ce « déclin » est à comprendre comme le signe d’une métamorphose civilisationnelle qui, à mesure qu’elle renforce le règne de l’individu, pourrait bien ruiner son ressort primordial : le libre arbitre. C’est là l’ambiguïté du transhumanisme. Si, d’un côté, les avancées des sciences et des techniques rapprochent l’horizon d’une humanité toujours plus autonome, les ressources de l’intelligence artificielle risquent d’être un piège pour l’individu en majesté. Dans un monde devenu ultra complexe et connecté, ne va-t-il pas être tenté de substituer l’intelligence artificielle à la sienne pour guider sa vie ? Auquel cas, son émancipation se retournerait en aliénation finale. Est-ce le sort qui nous attend ?
L’individu, fin de parcours ? Le piège de l’intelligence artificielle
Avec Julien Gobin – Économiste et philosophe.
Notre époque est celle de l’individu triomphant. L’ébranlement du cadre collectif que provoque cette affirmation irrésistible alimente chez beaucoup le sentiment d’un déclin irrémédiable de l’Occident. En réalité, suggère Julien Gobin, ce « déclin » est à comprendre comme le signe d’une métamorphose civilisationnelle qui, à mesure qu’elle renforce le règne de l’individu, pourrait bien ruiner son ressort primordial : le libre arbitre. C’est là l’ambiguïté du transhumanisme. Si, d’un côté, les avancées des sciences et des techniques rapprochent l’horizon d’une humanité toujours plus autonome, les ressources de l’intelligence artificielle risquent d’être un piège pour l’individu en majesté. Dans un monde devenu ultra complexe et connecté, ne va-t-il pas être tenté de substituer l’intelligence artificielle à la sienne pour guider sa vie ? Auquel cas, son émancipation se retournerait en aliénation finale. Est-ce le sort qui nous attend ?
L’individu, fin de parcours ? Le piège de l’intelligence artificielle
Avec Julien Gobin – Économiste et philosophe.
Notre époque est celle de l’individu triomphant. L’ébranlement du cadre collectif que provoque cette affirmation irrésistible alimente chez beaucoup le sentiment d’un déclin irrémédiable de l’Occident. En réalité, suggère Julien Gobin, ce « déclin » est à comprendre comme le signe d’une métamorphose civilisationnelle qui, à mesure qu’elle renforce le règne de l’individu, pourrait bien ruiner son ressort primordial : le libre arbitre. C’est là l’ambiguïté du transhumanisme. Si, d’un côté, les avancées des sciences et des techniques rapprochent l’horizon d’une humanité toujours plus autonome, les ressources de l’intelligence artificielle risquent d’être un piège pour l’individu en majesté. Dans un monde devenu ultra complexe et connecté, ne va-t-il pas être tenté de substituer l’intelligence artificielle à la sienne pour guider sa vie ? Auquel cas, son émancipation se retournerait en aliénation finale. Est-ce le sort qui nous attend ?
Sousveillance. Face à une surveillance généralisée, comment reprendre le pouvoir, comment renverser les rôles ? Laissons les artistes nous inspirer… Jean-Paul Fourmentraux, socio-anthropologue et critique d’art, professeur à l’Université d’Aix-Marseille et membre du Centre Norbert Elias. “Souveillance, l’oeil du contre-pouvoir” ed Les presses du réel
septembre
Sousveillance. Face à une surveillance généralisée, comment reprendre le pouvoir, comment renverser les rôles ? Laissons les artistes nous inspirer… Jean-Paul Fourmentraux, socio-anthropologue et critique d’art, professeur à l’Université d’Aix-Marseille et membre du Centre Norbert Elias. “Souveillance, l’oeil du contre-pouvoir” ed Les presses du réel
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