Émission Samedi Magazine
juillet
Résumé de l'émission
4400 athlètes vont participer aux jeux paralympiques qui auront lieu pour la première fois à Paris du 28 août au 8 septembre 2024. Ces jeux nous concernent tous (même ceux qui ne sont pas sportifs !). Car ils sont l’occasion pour chacune et chacun d’entre nous de nous interroger sur le regard que notre société porte sur le handicap et les personnes en situation de handicap. Un message transmis par l’exposition “Histoires paralympiques” qui se tient depuis le 11 juin, jusqu’au 29 septembre au Panthéon. Message qui est aussi celui des deux invitées du Samedi Magazine : Anne Marcellini, co-commissaire de l’exposition et Ludivine Munos, marraine de l’exposition. Le choix du panthéon (où est entré en 1952 Louis Braille, inventeur de l’écriture tactile et précurseur de l’émancipation des déficients visuels par l’instruction) n’est pas un hasard. L’exposition retrace (de 1948 à nos jours), l’histoire de l’intégration sportive du handicap à son inclusion sociale. Une thématique qui s’inscrit dans la vocation du panthéon de construire une citoyenneté à travers le patrimoine, historique, culturel et sportif. Anne Marcellini (à gauche sur la photo), professeure de sociologie du sport et de l’activité physique adaptée de l’université de Lausanne, explique le pari de l’exposition d’évoquer le grand nombre d’activités sportives et la diversité des athlètes. Depuis les pionniers du paralympisme qui ont permis une émancipation par rapport à la maladie ou l’invalidité jusqu’à l’apparition de nouveaux sports comme le “cécifoot”, en passant par un système de classification des sportifs pour créer l’égalité des chances dans les compétitions. Ludivine Munos (à droite sur la photo), triple médaillée olympique de natation a commencé sa brillante carrière handisport à l’âge de 12 ans. Plus jeune membre de l’équipe de France de natation, elle a poursuivi en parallèle des entraînements ses études et obtenu un mastère en droit et management. Elle a vécu les transformations qui ont conduit au grand spectacle de la fierté auquel elle nous incite à participer en allant encourager et admirer les “superhumains”.
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A la rencontre de l’Arménie et des arméniens
Le Samedi Magazine reçoit un homme de convictions et de foi : le pasteur Gilbert Léonian. Pasteur de l’église évangélique arménienne d’Alfortville et infatigable témoin de l’Évangile depuis 50 ans, il explique avec modestie comment il a répondu à l’appel de Jésus : viens et suis moi !
Né à Marseille, il a fait ses études de théologie et exercé son ministère en France, mais il est resté profondément attaché à ses racines arméniennes. Avec lui, nous partons à la découverte de l’Arménie et des arméniens. D’abord dans sa paroisse d’Alfortville, située rue du groupe Manouchian. L’occasion de faire la connaissance de “la petite Arménie” et de recueillir son témoignage sur ce que représentent aujourd’hui pour les arméniens. Missak et Mélinée Manouchian, entrés au panthéon en février de cette année. Et aussi d’en savoir plus sur l’église évangélique arménienne qui fête son centenaire en mai. Puis à travers son combat pour la reconnaissance du génocide arménien et ses missions dans le cadre de l’Association Espoir pour l’Arménie : en 1988 après le tremblement de terre qui a fait 25 000 orphelins et aujourd’hui auprès des réfugiés du Haut-Karabkh.
Viens et suis moi ! aux Editions Onésime 2000.
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A la rencontre de l’Arménie et des arméniens
Le Samedi Magazine reçoit un homme de convictions et de foi : le pasteur Gilbert Léonian. Pasteur de l’église évangélique arménienne d’Alfortville et infatigable témoin de l’Évangile depuis 50 ans, il explique avec modestie comment il a répondu à l’appel de Jésus : viens et suis moi !
Né à Marseille, il a fait ses études de théologie et exercé son ministère en France, mais il est resté profondément attaché à ses racines arméniennes. Avec lui, nous partons à la découverte de l’Arménie et des arméniens. D’abord dans sa paroisse d’Alfortville, située rue du groupe Manouchian. L’occasion de faire la connaissance de “la petite Arménie” et de recueillir son témoignage sur ce que représentent aujourd’hui pour les arméniens. Missak et Mélinée Manouchian, entrés au panthéon en février de cette année. Et aussi d’en savoir plus sur l’église évangélique arménienne qui fête son centenaire en mai. Puis à travers son combat pour la reconnaissance du génocide arménien et ses missions dans le cadre de l’Association Espoir pour l’Arménie : en 1988 après le tremblement de terre qui a fait 25 000 orphelins et aujourd’hui auprès des réfugiés du Haut-Karabkh.
Viens et suis moi ! aux Editions Onésime 2000.
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A la rencontre de l’Arménie et des arméniens
Le Samedi Magazine reçoit un homme de convictions et de foi : le pasteur Gilbert Léonian. Pasteur de l’église évangélique arménienne d’Alfortville et infatigable témoin de l’Évangile depuis 50 ans, il explique avec modestie comment il a répondu à l’appel de Jésus : viens et suis moi !
Né à Marseille, il a fait ses études de théologie et exercé son ministère en France, mais il est resté profondément attaché à ses racines arméniennes. Avec lui, nous partons à la découverte de l’Arménie et des arméniens. D’abord dans sa paroisse d’Alfortville, située rue du groupe Manouchian. L’occasion de faire la connaissance de “la petite Arménie” et de recueillir son témoignage sur ce que représentent aujourd’hui pour les arméniens. Missak et Mélinée Manouchian, entrés au panthéon en février de cette année. Et aussi d’en savoir plus sur l’église évangélique arménienne qui fête son centenaire en mai. Puis à travers son combat pour la reconnaissance du génocide arménien et ses missions dans le cadre de l’Association Espoir pour l’Arménie : en 1988 après le tremblement de terre qui a fait 25 000 orphelins et aujourd’hui auprès des réfugiés du Haut-Karabkh.
Viens et suis moi ! aux Editions Onésime 2000.
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août
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Deux ans, jour pour jour, après l’invasion de l’Ukraine par la Russie, le Samedi magazine reçoit Antoine Arjakovsky (photo) pour son livre intitulé “pour sortir de la guerre : vaincre l’agression russe contre l’Ukraine et les démocraties”. Un essai sans concession qui analyse avec précision les ressorts d’une guerre qui ne dit pas son nom, puisque qualifiée par le pouvoir russe “d’opération spéciale”. Mais aussi alerte sur l’agression contre la démocratie, un avertissement pour l’ensemble de l’Occident.
Antoine Arjakovsky, historien et essayiste, co-directeur du département politique et religions du Collège des Bernardins se définit lui même comme : “européen, chrétien, médiateur et bâtisseur de ponts”. A ces différents titres, il esquisse un plan de sortie de la guerre qui s’inspire à la fois des propositions du gouvernement ukrainien et de différentes recherches personnelles et collectives.
Comment sortir du conflit russo-ukrainien, révélateur d’une crise de la modernité qui trouve son origine dans l’émancipation des peuples de tout référent spirituel ? Sur la base d’une diplomatie “néo-réaliste éthique”, des propositions concrètes vont de l’intégration de l’Ukraine dans l’OTAN et graduellement dans l’UE, à la mise en place d’une industrie européenne de la Défense, en passant par la création de ministères de la paix, afin d’équilibrer la paix stratégique par une paix préventive.
Un appel qui doit mobiliser les acteurs de notre société post moderne, à commencer par les chrétiens !
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Deux ans, jour pour jour, après l’invasion de l’Ukraine par la Russie, le Samedi magazine reçoit Antoine Arjakovsky (photo) pour son livre intitulé “pour sortir de la guerre : vaincre l’agression russe contre l’Ukraine et les démocraties”. Un essai sans concession qui analyse avec précision les ressorts d’une guerre qui ne dit pas son nom, puisque qualifiée par le pouvoir russe “d’opération spéciale”. Mais aussi alerte sur l’agression contre la démocratie, un avertissement pour l’ensemble de l’Occident.
Antoine Arjakovsky, historien et essayiste, co-directeur du département politique et religions du Collège des Bernardins se définit lui même comme : “européen, chrétien, médiateur et bâtisseur de ponts”. A ces différents titres, il esquisse un plan de sortie de la guerre qui s’inspire à la fois des propositions du gouvernement ukrainien et de différentes recherches personnelles et collectives.
Comment sortir du conflit russo-ukrainien, révélateur d’une crise de la modernité qui trouve son origine dans l’émancipation des peuples de tout référent spirituel ? Sur la base d’une diplomatie “néo-réaliste éthique”, des propositions concrètes vont de l’intégration de l’Ukraine dans l’OTAN et graduellement dans l’UE, à la mise en place d’une industrie européenne de la Défense, en passant par la création de ministères de la paix, afin d’équilibrer la paix stratégique par une paix préventive.
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Deux ans, jour pour jour, après l’invasion de l’Ukraine par la Russie, le Samedi magazine reçoit Antoine Arjakovsky (photo) pour son livre intitulé “pour sortir de la guerre : vaincre l’agression russe contre l’Ukraine et les démocraties”. Un essai sans concession qui analyse avec précision les ressorts d’une guerre qui ne dit pas son nom, puisque qualifiée par le pouvoir russe “d’opération spéciale”. Mais aussi alerte sur l’agression contre la démocratie, un avertissement pour l’ensemble de l’Occident.
Antoine Arjakovsky, historien et essayiste, co-directeur du département politique et religions du Collège des Bernardins se définit lui même comme : “européen, chrétien, médiateur et bâtisseur de ponts”. A ces différents titres, il esquisse un plan de sortie de la guerre qui s’inspire à la fois des propositions du gouvernement ukrainien et de différentes recherches personnelles et collectives.
Comment sortir du conflit russo-ukrainien, révélateur d’une crise de la modernité qui trouve son origine dans l’émancipation des peuples de tout référent spirituel ? Sur la base d’une diplomatie “néo-réaliste éthique”, des propositions concrètes vont de l’intégration de l’Ukraine dans l’OTAN et graduellement dans l’UE, à la mise en place d’une industrie européenne de la Défense, en passant par la création de ministères de la paix, afin d’équilibrer la paix stratégique par une paix préventive.
Un appel qui doit mobiliser les acteurs de notre société post moderne, à commencer par les chrétiens !
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L’intelligence artificielle : bénéfique ou maléfique ?
Deux animateurs de Fréquence Protestante, Anne-Katel Martineau (“Les robots et nous”) et Fabrice Blanc (“Aujourd’hui, c’est data”) sont les invités du Samedi Magazine (photo). Le développement de l’intelligence artificielle impacte les entreprises et la nation, mais aussi chacun(e) d’entre nous, utilisateurs de “smartphone”, ces téléphones “intelligents” (de l’anglais/américain: “smart”) : faut-il s’enthousiasmer ou avoir peur ?
Pour nous aider à nous faire notre propre opinion, Anne-Katel Martineau et Fabrice Blanc nous donnent leurs propres définitions de” l’IA” et de ses limites (y compris dans ses versions “générative” et “discriminative.”) Ils sont rejoints par Charles Crummer, programmeur informatique scientifique américain qui lui, préfère utiliser le terme “d’intelligence simulée” et explique pourquoi .
A quoi sont utilisés les robots actuellement ? Qu’est-ce qu’un “chatbot” et bien sûr à quoi sert “ChatGPT” ? Mais aussi qui sont les travailleurs de l’IA ? Peut-on accepter que “les petites mains” puissent être exploitées, comme c’est le cas actuellement ? C’est une question sociétale et éthique. L’éthique qui a conduit à légiférer (et l’Europe a bien su le faire) et dont le Pape François s’est préoccupé depuis 2019.
En conclusion, face aux craintes que peut susciter l’IA : un message d’espérance du pasteur Jean-Luc Cremer, président de la région ouest de l’Église protestante unie de France.
A écouter sur Fréquence protestante :
– le 1er lundi du mois à 14h : Les robots et nous
– le 4e lundi du mois à 14h : Aujourd’hui, c’est data.
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septembre
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L’intelligence artificielle : bénéfique ou maléfique ?
Deux animateurs de Fréquence Protestante, Anne-Katel Martineau (“Les robots et nous”) et Fabrice Blanc (“Aujourd’hui, c’est data”) sont les invités du Samedi Magazine (photo). Le développement de l’intelligence artificielle impacte les entreprises et la nation, mais aussi chacun(e) d’entre nous, utilisateurs de “smartphone”, ces téléphones “intelligents” (de l’anglais/américain: “smart”) : faut-il s’enthousiasmer ou avoir peur ?
Pour nous aider à nous faire notre propre opinion, Anne-Katel Martineau et Fabrice Blanc nous donnent leurs propres définitions de” l’IA” et de ses limites (y compris dans ses versions “générative” et “discriminative.”) Ils sont rejoints par Charles Crummer, programmeur informatique scientifique américain qui lui, préfère utiliser le terme “d’intelligence simulée” et explique pourquoi .
A quoi sont utilisés les robots actuellement ? Qu’est-ce qu’un “chatbot” et bien sûr à quoi sert “ChatGPT” ? Mais aussi qui sont les travailleurs de l’IA ? Peut-on accepter que “les petites mains” puissent être exploitées, comme c’est le cas actuellement ? C’est une question sociétale et éthique. L’éthique qui a conduit à légiférer (et l’Europe a bien su le faire) et dont le Pape François s’est préoccupé depuis 2019.
En conclusion, face aux craintes que peut susciter l’IA : un message d’espérance du pasteur Jean-Luc Cremer, président de la région ouest de l’Église protestante unie de France.
A écouter sur Fréquence protestante :
– le 1er lundi du mois à 14h : Les robots et nous
– le 4e lundi du mois à 14h : Aujourd’hui, c’est data.
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