juillet
Chad Chenouga et Christine Paillard pour leur film Pourquoi tu souris ?
Chronique des films :
Pourquoi tu souris ?
Horizon, une saga américaine de Kevin Costner
Annonce Des films :
Road movie, à la cinémathèque
Des films à venir en juillet :
Les Gens d’à côté d’André Téchiné
Santosh de Sandhya Suri
Blandine Lenoir et Noémie Lovsvky pour Juliette au printemps
Chronique des films
En attendant la nuit
Juliette au printemps
Lubna Azabal pour le film Amal, un vent de liberté et le réalisateur Martin Provost réalisateur pour son livre aux éditions Phébus Par les soirs bleus d’été, j’irai dans la forêt.
Les musiques Chiara Mastroiani et Benjamin Biolay et Eddy de Pretto.
Les énigmes de Stanley Kubrick.
Évoquer le leg de Stanley Kubrick, c’est se confronter à une tâche ardue, voire impossible. Comment résumer, en effet, une œuvre-monde si riche, si foisonnante, si complexe, si multiple, si intrigante ? A partir des Sentiers de la Gloire, en effet, chaque film de Kubrick est un chef-d’œuvre. Du film noir à la science-fiction, du film de guerre au film d’épouvante, Kubrick s’empare de ces genres pour, tel un alchimiste, les sublimer. Perfectionniste, formaliste, d’une rigueur à nulle autre pareille, adaptateur hors pair, Kubrick occupe une place à part dans l’histoire du cinéma. Il résiste à toutes les catégories et a tracé un sillon unique, qui se termina à la fin des années 90 avec Eyes Wide Shut, réflexion d’une infinie finesse sur le couple et l’intimité. A travers les grands thèmes de son œuvre, c’est aussi à une plongée dans l’histoire du XXème siècle et de ses maux que nous convie Stanley Kubrick.
Les énigmes de Stanley Kubrick.
Évoquer le leg de Stanley Kubrick, c’est se confronter à une tâche ardue, voire impossible. Comment résumer, en effet, une œuvre-monde si riche, si foisonnante, si complexe, si multiple, si intrigante ? A partir des Sentiers de la Gloire, en effet, chaque film de Kubrick est un chef-d’œuvre. Du film noir à la science-fiction, du film de guerre au film d’épouvante, Kubrick s’empare de ces genres pour, tel un alchimiste, les sublimer. Perfectionniste, formaliste, d’une rigueur à nulle autre pareille, adaptateur hors pair, Kubrick occupe une place à part dans l’histoire du cinéma. Il résiste à toutes les catégories et a tracé un sillon unique, qui se termina à la fin des années 90 avec Eyes Wide Shut, réflexion d’une infinie finesse sur le couple et l’intimité. A travers les grands thèmes de son œuvre, c’est aussi à une plongée dans l’histoire du XXème siècle et de ses maux que nous convie Stanley Kubrick.
Les énigmes de Stanley Kubrick.
Évoquer le leg de Stanley Kubrick, c’est se confronter à une tâche ardue, voire impossible. Comment résumer, en effet, une œuvre-monde si riche, si foisonnante, si complexe, si multiple, si intrigante ? A partir des Sentiers de la Gloire, en effet, chaque film de Kubrick est un chef-d’œuvre. Du film noir à la science-fiction, du film de guerre au film d’épouvante, Kubrick s’empare de ces genres pour, tel un alchimiste, les sublimer. Perfectionniste, formaliste, d’une rigueur à nulle autre pareille, adaptateur hors pair, Kubrick occupe une place à part dans l’histoire du cinéma. Il résiste à toutes les catégories et a tracé un sillon unique, qui se termina à la fin des années 90 avec Eyes Wide Shut, réflexion d’une infinie finesse sur le couple et l’intimité. A travers les grands thèmes de son œuvre, c’est aussi à une plongée dans l’histoire du XXème siècle et de ses maux que nous convie Stanley Kubrick.
Les énigmes de Stanley Kubrick.
Évoquer le leg de Stanley Kubrick, c’est se confronter à une tâche ardue, voire impossible. Comment résumer, en effet, une œuvre-monde si riche, si foisonnante, si complexe, si multiple, si intrigante ? A partir des Sentiers de la Gloire, en effet, chaque film de Kubrick est un chef-d’œuvre. Du film noir à la science-fiction, du film de guerre au film d’épouvante, Kubrick s’empare de ces genres pour, tel un alchimiste, les sublimer. Perfectionniste, formaliste, d’une rigueur à nulle autre pareille, adaptateur hors pair, Kubrick occupe une place à part dans l’histoire du cinéma. Il résiste à toutes les catégories et a tracé un sillon unique, qui se termina à la fin des années 90 avec Eyes Wide Shut, réflexion d’une infinie finesse sur le couple et l’intimité. A travers les grands thèmes de son œuvre, c’est aussi à une plongée dans l’histoire du XXème siècle et de ses maux que nous convie Stanley Kubrick.
Rencontre avec le cinéaste Julien Paolini pour son film « Karmapolice », en salles depuis le 17 Juillet.
Les énigmes de Stanley Kubrick.
Évoquer le leg de Stanley Kubrick, c’est se confronter à une tâche ardue, voire impossible. Comment résumer, en effet, une œuvre-monde si riche, si foisonnante, si complexe, si multiple, si intrigante ? A partir des Sentiers de la Gloire, en effet, chaque film de Kubrick est un chef-d’œuvre. Du film noir à la science-fiction, du film de guerre au film d’épouvante, Kubrick s’empare de ces genres pour, tel un alchimiste, les sublimer. Perfectionniste, formaliste, d’une rigueur à nulle autre pareille, adaptateur hors pair, Kubrick occupe une place à part dans l’histoire du cinéma. Il résiste à toutes les catégories et a tracé un sillon unique, qui se termina à la fin des années 90 avec Eyes Wide Shut, réflexion d’une infinie finesse sur le couple et l’intimité. A travers les grands thèmes de son œuvre, c’est aussi à une plongée dans l’histoire du XXème siècle et de ses maux que nous convie Stanley Kubrick.
Rencontre avec le cinéaste Julien Paolini pour son film « Karmapolice », en salles depuis le 17 Juillet.
Rencontre avec le cinéaste Julien Paolini pour son film « Karmapolice », en salles depuis le 17 Juillet.
août
Olivier Curchod. Le cinéma de Claude Miller.
A l’occasion de la sortie d’une version restaurée en 4K du Samouraï, un de ses chefs-d’œuvre, La dernière séquence vous propose une plongée dans l’univers de Jean-Pierre Melville, père spirituel de la Nouvelle Vague, maître incontesté du cinéma français d’après-guerre. Cet épisode prendra la forme d’une exploration des deux facettes marquantes de son œuvre : d’une part, ses films policiers, qui réinventent et subliment les codes du film noir hollywoodien et d’autre part, ses film sur la guerre, profondément ancrés dans son histoire personnelle et son passé de résistant.
Jean-Pierre Melville était plus qu’un réalisateur. C’était un peintre de l’âme humaine, un architecte du suspense, un tragédien, un poète visuel. Sa sobriété et sa rigueur formelle, son fétichisme et sa propension à l’abstraction nous ont laissé en héritage un cinéma des signes, hiératique, mutique et sombre.
Olivier Curchod. Le cinéma de Claude Miller.
A l’occasion de la sortie d’une version restaurée en 4K du Samouraï, un de ses chefs-d’œuvre, La dernière séquence vous propose une plongée dans l’univers de Jean-Pierre Melville, père spirituel de la Nouvelle Vague, maître incontesté du cinéma français d’après-guerre. Cet épisode prendra la forme d’une exploration des deux facettes marquantes de son œuvre : d’une part, ses films policiers, qui réinventent et subliment les codes du film noir hollywoodien et d’autre part, ses film sur la guerre, profondément ancrés dans son histoire personnelle et son passé de résistant.
Jean-Pierre Melville était plus qu’un réalisateur. C’était un peintre de l’âme humaine, un architecte du suspense, un tragédien, un poète visuel. Sa sobriété et sa rigueur formelle, son fétichisme et sa propension à l’abstraction nous ont laissé en héritage un cinéma des signes, hiératique, mutique et sombre.
A l’occasion de la sortie d’une version restaurée en 4K du Samouraï, un de ses chefs-d’œuvre, La dernière séquence vous propose une plongée dans l’univers de Jean-Pierre Melville, père spirituel de la Nouvelle Vague, maître incontesté du cinéma français d’après-guerre. Cet épisode prendra la forme d’une exploration des deux facettes marquantes de son œuvre : d’une part, ses films policiers, qui réinventent et subliment les codes du film noir hollywoodien et d’autre part, ses film sur la guerre, profondément ancrés dans son histoire personnelle et son passé de résistant.
Jean-Pierre Melville était plus qu’un réalisateur. C’était un peintre de l’âme humaine, un architecte du suspense, un tragédien, un poète visuel. Sa sobriété et sa rigueur formelle, son fétichisme et sa propension à l’abstraction nous ont laissé en héritage un cinéma des signes, hiératique, mutique et sombre.
A l’occasion de la sortie d’une version restaurée en 4K du Samouraï, un de ses chefs-d’œuvre, La dernière séquence vous propose une plongée dans l’univers de Jean-Pierre Melville, père spirituel de la Nouvelle Vague, maître incontesté du cinéma français d’après-guerre. Cet épisode prendra la forme d’une exploration des deux facettes marquantes de son œuvre : d’une part, ses films policiers, qui réinventent et subliment les codes du film noir hollywoodien et d’autre part, ses film sur la guerre, profondément ancrés dans son histoire personnelle et son passé de résistant.
Jean-Pierre Melville était plus qu’un réalisateur. C’était un peintre de l’âme humaine, un architecte du suspense, un tragédien, un poète visuel. Sa sobriété et sa rigueur formelle, son fétichisme et sa propension à l’abstraction nous ont laissé en héritage un cinéma des signes, hiératique, mutique et sombre.
Rencontre avec le directeur de la photographie Philippe Rousselot, pour son livre “La sagesse du chef-opérateur” (éditions Béhar 81)
Dans cette émission, Philippe Rousselot témoigne de l’importance de la lumière (et des ombres) pour exprimer des émotions sur grand écran. Dans la filmographie de cet artiste célébré (1 Oscar et 3 Césars), on retrouve notamment “La reine Margot”, “Diva”, “Et au milieu coule une rivière”, “L’ours” ou “Les liaisons dangereuses”.
Henri-George Clouzot, entre génie et excès.
Henri-George Clouzot nous a laissé de grands films. Du Corbeau à Quai des Orfèvres, en passant par les Diaboliques et le Salaire de la Peur, il a marqué l’histoire du cinéma français. Il fut aussi l’une des cibles de Truffaut et de la Nouvelle Vague, qui voyaient en lui un des symboles du « cinéma à la papa » qu’il convenait de mettre à terre. Cultivé, perfectionniste, il mit la forme au service du réalisme dès son premier film, L’assassin habite au 21. Cependant, le parcours et la personnalité de Clouzot ont été sources de nombreuses polémiques. Cheville ouvrière de la Continental, cette société de production allemande financée par les nazis pendant l’Occupation, Clouzot était un être violent, tempétueux, excessif, tourmenté, sadique, qui n’hésitait pas à malmener, voire même frapper, ses acteurs pour obtenir d’eux ce qu’il exigeait. Des comportements qui posent des questions éthiques fondamentales sur la dynamique de pouvoir dans l’industrie du cinéma. La dernière séquence vous propose de partir à la découverte cet artiste trouble et énigmatique que beaucoup considèrent comme le Hitchcock français.
Rencontre avec le directeur de la photographie Philippe Rousselot, pour son livre “La sagesse du chef-opérateur” (éditions Béhar 81)
Dans cette émission, Philippe Rousselot témoigne de l’importance de la lumière (et des ombres) pour exprimer des émotions sur grand écran. Dans la filmographie de cet artiste célébré (1 Oscar et 3 Césars), on retrouve notamment “La reine Margot”, “Diva”, “Et au milieu coule une rivière”, “L’ours” ou “Les liaisons dangereuses”.
Henri-George Clouzot, entre génie et excès.
Henri-George Clouzot nous a laissé de grands films. Du Corbeau à Quai des Orfèvres, en passant par les Diaboliques et le Salaire de la Peur, il a marqué l’histoire du cinéma français. Il fut aussi l’une des cibles de Truffaut et de la Nouvelle Vague, qui voyaient en lui un des symboles du « cinéma à la papa » qu’il convenait de mettre à terre. Cultivé, perfectionniste, il mit la forme au service du réalisme dès son premier film, L’assassin habite au 21. Cependant, le parcours et la personnalité de Clouzot ont été sources de nombreuses polémiques. Cheville ouvrière de la Continental, cette société de production allemande financée par les nazis pendant l’Occupation, Clouzot était un être violent, tempétueux, excessif, tourmenté, sadique, qui n’hésitait pas à malmener, voire même frapper, ses acteurs pour obtenir d’eux ce qu’il exigeait. Des comportements qui posent des questions éthiques fondamentales sur la dynamique de pouvoir dans l’industrie du cinéma. La dernière séquence vous propose de partir à la découverte cet artiste trouble et énigmatique que beaucoup considèrent comme le Hitchcock français.
Rencontre avec le directeur de la photographie Philippe Rousselot, pour son livre “La sagesse du chef-opérateur” (éditions Béhar 81)
Dans cette émission, Philippe Rousselot témoigne de l’importance de la lumière (et des ombres) pour exprimer des émotions sur grand écran. Dans la filmographie de cet artiste célébré (1 Oscar et 3 Césars), on retrouve notamment “La reine Margot”, “Diva”, “Et au milieu coule une rivière”, “L’ours” ou “Les liaisons dangereuses”.
Kathryn Bigelow, une artiste peintre à Hollywood.
Trajectoire singulière que celle de Kathryn Bigelow. Première réalisatrice à recevoir l’Oscar du meilleur film et de la meilleure réalisation pour Démineurs en 2010, cette native de San Carlos en Californie ne se destinait pas au cinéma, encore moins celui d’Hollywood. Etudiante en peinture au San Francisco Art Institute, elle y côtoie Philip Glass et s’inspire du travail de Jackson Pollock et de Willem de Kooning. Elle s’installe ensuite à New York. Proche de la Factory, c’est Andy Warhol qui lui suggère de recourir au cinéma, plus accessible, pour exprimer son originalité. Et en dix films, de The Loveless, sorti en 1984, à Detroit, en 2017, Bigelow va construire une œuvre transgressive, aussi intellectuelle que viscérale, empreinte de radicalité et qui questionne notre rapport à la violence. C’est à cette artiste hors du commun que le premier épisode de la deuxième saison de La dernière séquence est consacré.
septembre
01sep4h005h00Avec Claire Vassé4h00 - 5h00(GMT+02:00) AnimateurGaffie PierreÉmissionLe Vrai monde
Rencontre avec Claire Vassé, réalisatrice du film “Double Foyer” actuellement en salles.
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