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Woody James
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Zucker Jean-Michel
avril
Violette d’Urso, Même le bruit de la nuit a changé, Flammarion
Victor Malzac : Créatine (Gallimard – Collection Scribes)
A la découverte des livres de Christophe Langlois
Seul pays de la péninsule indochinoise à n’avoir pas été colonisé par l’Occident, la Thaïlande à une longue et complexe histoire, et une riche culture au croisement d’influences multiples. Le livre de Jean-Michel Kauffmann nous révèle une nation qui s’est construite à partir de petits royaumes, se défendit contre la Birmanie qui détruira sa capitale en 1767, su se moderniser avec des rois et des personnages étonnants. L’ouvrage, joliment illustré fourmille de détails, ainsi les relations entre la France et le Siam (devenu Thaïlande en 1939) sont racontées avec verve de Louis XIV à nos jours. Adieu aux idées reçues sur la Thaïlande…
« Bonnard » Editions HAZAN
Violette d’Urso, Même le bruit de la nuit a changé, Flammarion
Missak Manouchian – Ivre d’un grand rêve de liberté.
Les hommages à Missak Manouchian ont été nombreux, au moment de son entrée au Panthéon, y compris sur notre antenne. Mais sait-on exactement ce qu’il écrivait, ce que sont ses poèmes. Le recueil dont je souhaite vous parler, et qui s’intitule Ivre d’un grand rêve de poésie, est publié aux éditions Points, dans une petite collection « Points poésie » au format poche. Ce livre est fort bien fait car il est bilingue. Et même si vous ne parlez pas arménien couramment, vous apprécierez ces caractères étranges, poétiques eux aussi dans leur graphie, qui accompagnent en page de gauche chaque poème. La traduction a été faite par Stéphane Cermakian. La langue arménienne est considérée comme un rameau isolé de la famille de langues indo-européennes, dont l’existence est attestée depuis l’antiquité, et l’alphabet a été inventé en 405 par le moine Mesrop Machtots. C’est à travers cet alphabet que Missak Manouchian retrouvait un peu de son Arménie perdue. On le sent à travers ses poèmes.
François Guillaume-Lorrain, journaliste et historien pour son dernier roman “Le Temps des trahisons” paru chez XO qui raconte de manière haletante la fin du règne de Louis XIII. La France est menacée de toutes parts, le roi vieillit et le couple qu’il forme avec le cardinal de Richelieu depuis vingt ans est miné par la suspicion et les susceptibilités. C’est le moment où le jeune marquis de Cinq-Mars, séducteur, ambitieux, fougueux entre dans la danse au péril de sa vie et de l’équilibre fragile du royaume.
Seul pays de la péninsule indochinoise à n’avoir pas été colonisé par l’Occident, la Thaïlande à une longue et complexe histoire, et une riche culture au croisement d’influences multiples. Le livre de Jean-Michel Kauffmann nous révèle une nation qui s’est construite à partir de petits royaumes, se défendit contre la Birmanie qui détruira sa capitale en 1767, su se moderniser avec des rois et des personnages étonnants. L’ouvrage, joliment illustré fourmille de détails, ainsi les relations entre la France et le Siam (devenu Thaïlande en 1939) sont racontées avec verve de Louis XIV à nos jours. Adieu aux idées reçues sur la Thaïlande…
« Bonnard » Editions HAZAN
Violette d’Urso, Même le bruit de la nuit a changé, Flammarion
Missak Manouchian – Ivre d’un grand rêve de liberté.
Les hommages à Missak Manouchian ont été nombreux, au moment de son entrée au Panthéon, y compris sur notre antenne. Mais sait-on exactement ce qu’il écrivait, ce que sont ses poèmes. Le recueil dont je souhaite vous parler, et qui s’intitule Ivre d’un grand rêve de poésie, est publié aux éditions Points, dans une petite collection « Points poésie » au format poche. Ce livre est fort bien fait car il est bilingue. Et même si vous ne parlez pas arménien couramment, vous apprécierez ces caractères étranges, poétiques eux aussi dans leur graphie, qui accompagnent en page de gauche chaque poème. La traduction a été faite par Stéphane Cermakian. La langue arménienne est considérée comme un rameau isolé de la famille de langues indo-européennes, dont l’existence est attestée depuis l’antiquité, et l’alphabet a été inventé en 405 par le moine Mesrop Machtots. C’est à travers cet alphabet que Missak Manouchian retrouvait un peu de son Arménie perdue. On le sent à travers ses poèmes.
François Guillaume-Lorrain, journaliste et historien pour son dernier roman “Le Temps des trahisons” paru chez XO qui raconte de manière haletante la fin du règne de Louis XIII. La France est menacée de toutes parts, le roi vieillit et le couple qu’il forme avec le cardinal de Richelieu depuis vingt ans est miné par la suspicion et les susceptibilités. C’est le moment où le jeune marquis de Cinq-Mars, séducteur, ambitieux, fougueux entre dans la danse au péril de sa vie et de l’équilibre fragile du royaume.
Seul pays de la péninsule indochinoise à n’avoir pas été colonisé par l’Occident, la Thaïlande à une longue et complexe histoire, et une riche culture au croisement d’influences multiples. Le livre de Jean-Michel Kauffmann nous révèle une nation qui s’est construite à partir de petits royaumes, se défendit contre la Birmanie qui détruira sa capitale en 1767, su se moderniser avec des rois et des personnages étonnants. L’ouvrage, joliment illustré fourmille de détails, ainsi les relations entre la France et le Siam (devenu Thaïlande en 1939) sont racontées avec verve de Louis XIV à nos jours. Adieu aux idées reçues sur la Thaïlande…
« Bonnard » Editions HAZAN
Missak Manouchian – Ivre d’un grand rêve de liberté.
Les hommages à Missak Manouchian ont été nombreux, au moment de son entrée au Panthéon, y compris sur notre antenne. Mais sait-on exactement ce qu’il écrivait, ce que sont ses poèmes. Le recueil dont je souhaite vous parler, et qui s’intitule Ivre d’un grand rêve de poésie, est publié aux éditions Points, dans une petite collection « Points poésie » au format poche. Ce livre est fort bien fait car il est bilingue. Et même si vous ne parlez pas arménien couramment, vous apprécierez ces caractères étranges, poétiques eux aussi dans leur graphie, qui accompagnent en page de gauche chaque poème. La traduction a été faite par Stéphane Cermakian. La langue arménienne est considérée comme un rameau isolé de la famille de langues indo-européennes, dont l’existence est attestée depuis l’antiquité, et l’alphabet a été inventé en 405 par le moine Mesrop Machtots. C’est à travers cet alphabet que Missak Manouchian retrouvait un peu de son Arménie perdue. On le sent à travers ses poèmes.
François Guillaume-Lorrain, journaliste et historien pour son dernier roman “Le Temps des trahisons” paru chez XO qui raconte de manière haletante la fin du règne de Louis XIII. La France est menacée de toutes parts, le roi vieillit et le couple qu’il forme avec le cardinal de Richelieu depuis vingt ans est miné par la suspicion et les susceptibilités. C’est le moment où le jeune marquis de Cinq-Mars, séducteur, ambitieux, fougueux entre dans la danse au péril de sa vie et de l’équilibre fragile du royaume.
Seul pays de la péninsule indochinoise à n’avoir pas été colonisé par l’Occident, la Thaïlande à une longue et complexe histoire, et une riche culture au croisement d’influences multiples. Le livre de Jean-Michel Kauffmann nous révèle une nation qui s’est construite à partir de petits royaumes, se défendit contre la Birmanie qui détruira sa capitale en 1767, su se moderniser avec des rois et des personnages étonnants. L’ouvrage, joliment illustré fourmille de détails, ainsi les relations entre la France et le Siam (devenu Thaïlande en 1939) sont racontées avec verve de Louis XIV à nos jours. Adieu aux idées reçues sur la Thaïlande…
« Bonnard » Editions HAZAN
La végétalisation de la mémoire
Entre 1999 et 2001, la RATP avait réalisé 9 stations du centenaire pour célébrer le centenaire du Métropolitain parisien. Chacune de ces stations illustrait un thème : Les Tuileries : le patrimoine, Europe : l’Europe, Saint Germain des Prés : la création, Luxembourg : l’écologie urbaine, Pasteur : la santé, Montparnasse – Bienvenue : “ils font le métro” (L’histoire technique et le personnel du réseau) , Carrefour Pleyel : la musique, Léo Lagrange : le sport, et Bonne nouvelle : le cinéma. Périodiquement, l’entreprise continue à rénover ses stations, souvent de la bonne manière comme Saint Germain des Prés qui accueille depuis 2021 une fresque culturelle intitulée « Le Mythe Saint-Germain : un lexique amoureux » mettant à l’honneur des personnalités, illustres ou parfois méconnues, qui ont contribué à écrire l’histoire du quartier : Boris Vian, Jacques Prévert, Marguerite Duras, Amélie Nothomb, mais aussi Roland Topor ou encore Sonia Delaunay.
Mais la rénovation récente de la station Les Tuileries laisse pantois. De très belles décorations y retraçaient par décennies les années 1920-1970. C’était le royaume de l’histoire, de la mémoire du patrimoine et de la vie quotidienne. Et puis tout cela a disparu, évincé par « une fresque évoquant le végétal » tel que des dessins d’arbres, de feuilles et de fleurs, réalisée par Cyprien Chabert. Cette grande fresque végétale luxuriante prétend faire le lien avec le jardin des Tuileries en surplomb. On vient tout simplement de végétaliser la mémoire au lieu de continuer à l’incarner. On a remplacé la fresque historique par un herbier. Le propos est insignifiant. Prétendant rappeler les espèces botaniques du jardin, la nouvelle décoration de la station fait l’impasse sur l’histoire du lieu : la construction du palais des Tuileries au 16ème siècle, son incendie pendant la commune suivi de sa destruction totale, l’ouverture au public du jardin à la Saint-Jean par Louis XIV, et la construction des galeries de l’Orangerie et du jeu de Paume au 19ème siècle. Dans ce jardin furent abrités nombre de fêtes officielles et d’événements populaires : ascension des premiers ballons à hydrogène en 1783, premier salon de l’automobile en 1898, banquet des 22000 maires de France en 1900, attractions du bicentenaire de la Révolution en 1989. Quand les prétentions écologistes relèvent d’une salade inculte qui fait l’impasse sur l’histoire, elles relèvent du contre sens. La mémoire et l’histoire restent les conditions sine qua non du développement durable.
06avr17h0018h00Marcel Audiard17h00 - 18h00 AnimateurFicat CharlesÉmissionL’amour des livres
Marcel Audiard
Victor Malzac : Créatine (Gallimard – Collection Scribes)
Paroles de prêtres 08
07avr16h0017h00Marcel Audiard16h00 - 17h00 AnimateurFicat CharlesÉmissionL’amour des livres
Marcel Audiard
Victor Malzac : Créatine (Gallimard – Collection Scribes)
08avr19h0020h00Marcel Audiard19h00 - 20h00 AnimateurFicat CharlesÉmissionL’amour des livres
Marcel Audiard
Victor Malzac : Créatine (Gallimard – Collection Scribes)
Victor Malzac : Créatine (Gallimard – Collection Scribes)
09avr22h0023h00Marcel Audiard22h00 - 23h00 AnimateurFicat CharlesÉmissionL’amour des livres
Marcel Audiard
Victor Malzac : Créatine (Gallimard – Collection Scribes)
Le lien du 24 décembre
Qu’elle soit d’origine religieuse ou qu’elle soit devenue laïque pour ceux qui ne croient pas au ciel, la soirée du 24 décembre est celle d’une bonne nouvelle qui vient chaque année télescoper le bataillon des mauvaises nouvelles mises en musique par les réseaux sociaux et par les chaînes d’information continue. Nous devrions donc tous écrire au Père Noël parce que, à leur manière, Saint Nicolas et Saint Antoine tels qu’ils sont immortalisés dans la toile du peintre florentin Piero di Cosimo intitulée Visitation avec Saint Nicolas et Saint Antoine sont les ancêtres du Père Noël. Le premier lit sans doute à voix haute la bonne nouvelle, le deuxième l’écrit. Notre lettre au Père Noël n’est donc pas une requête : elle est une réponse. D’une certaine façon, c’est lui qui nous écrit depuis la nuit des temps. La réponse rédigée par ses secrétaires basés à Libourne depuis Françoise Dolto et qui est soigneusement acheminée par les facteurs depuis 1962 n’est que le troisième mouvement d’un véritable dialogue. Malheureux étaient les illettrés et les enfants d’analphabètes qui ne pouvaient pas lui écrire avant l’école pour tous parce qu’ils ne pouvaient pas le lire. Le cadeau de Noël par excellence ? Un livre ou un outil d’écriture. Pour que nos mots d’amour, d’amitié et d’empathie soient les plus beaux du monde, et qu’ils apportent des « papiers » à ceux qui n’en ont pas : des passeports de fraternité. L’attente de la naissance de l’enfant Jésus, c’est le symbole de l’attente de l’autre.
Paroles de prêtres – ep 09
Victor Malzac : Créatine (Gallimard – Collection Scribes)
14avr4h005h00Marcel Audiard4h00 - 5h00 AnimateurFicat CharlesÉmissionL’amour des livres
Marcel Audiard
Savez-vous que ce n’est que le 19 décembre1900 que pour la première fois, une Française pu prêter qon serment d’avocate ? Jeanne Chauvin avait été la première femme docteur en droit et avait dû se battre pour qu’on l’accepte au Barreau. Michèle Dassas qui s’est spécialisée dans le destin de femmes exceptionnelles nous raconte son parcours, et les arguments étonnants qui étaient utilisés pour éloigner les femmes de certains métiers. Encouragé par sa mère et son frère, qui deviendra député, Jeanne Chauvin se battra au sein de l’association « l’avant-courrière au nom de toutes les femmes.
« Jeanne Chauvin, pionnière des avocates » Ed Ramsay. Préface de Marie-Aymée Peyron, ancien bâtonnier du barreau de Paris
19 avril 2024 23h00
19 avril 2024 20h00
Savez-vous que ce n’est que le 19 décembre1900 que pour la première fois, une Française pu prêter qon serment d’avocate ? Jeanne Chauvin avait été la première femme docteur en droit et avait dû se battre pour qu’on l’accepte au Barreau. Michèle Dassas qui s’est spécialisée dans le destin de femmes exceptionnelles nous raconte son parcours, et les arguments étonnants qui étaient utilisés pour éloigner les femmes de certains métiers. Encouragé par sa mère et son frère, qui deviendra député, Jeanne Chauvin se battra au sein de l’association « l’avant-courrière au nom de toutes les femmes.
« Jeanne Chauvin, pionnière des avocates » Ed Ramsay. Préface de Marie-Aymée Peyron, ancien bâtonnier du barreau de Paris
19 avril 2024 23h00
19 avril 2024 20h00
Savez-vous que ce n’est que le 19 décembre1900 que pour la première fois, une Française pu prêter qon serment d’avocate ? Jeanne Chauvin avait été la première femme docteur en droit et avait dû se battre pour qu’on l’accepte au Barreau. Michèle Dassas qui s’est spécialisée dans le destin de femmes exceptionnelles nous raconte son parcours, et les arguments étonnants qui étaient utilisés pour éloigner les femmes de certains métiers. Encouragé par sa mère et son frère, qui deviendra député, Jeanne Chauvin se battra au sein de l’association « l’avant-courrière au nom de toutes les femmes.
« Jeanne Chauvin, pionnière des avocates » Ed Ramsay. Préface de Marie-Aymée Peyron, ancien bâtonnier du barreau de Paris
19 avril 2024 23h00
Savez-vous que ce n’est que le 19 décembre1900 que pour la première fois, une Française pu prêter qon serment d’avocate ? Jeanne Chauvin avait été la première femme docteur en droit et avait dû se battre pour qu’on l’accepte au Barreau. Michèle Dassas qui s’est spécialisée dans le destin de femmes exceptionnelles nous raconte son parcours, et les arguments étonnants qui étaient utilisés pour éloigner les femmes de certains métiers. Encouragé par sa mère et son frère, qui deviendra député, Jeanne Chauvin se battra au sein de l’association « l’avant-courrière au nom de toutes les femmes.
« Jeanne Chauvin, pionnière des avocates » Ed Ramsay. Préface de Marie-Aymée Peyron, ancien bâtonnier du barreau de Paris
Représentations du handicap et de la folie. Avec Gérard Bonnefon.
22 avril 2024 18h0023 avril 2024 21h00
L’interdiction de sourire
Souvent la loi est triste. Elle peut être consternante. L’intelligence artificielle et ses logiciels de reconnaissance faciale semblent avoir de graves limites. Dans presque tous les pays du monde, il nous est aujourd’hui interdit de sourire lorsque nous posons pour la photo d’identité qui va venir illustrer notre carte d’identité, notre passeport, notre permis de conduire et éventuellement notre carte d’handicapé. Nous sommes tous condamnés à être photographiés « bouche fermée », en conséquence de quoi nous arborons tous une mine maussade sur nos papiers officiels. Les législateurs du monde entier se sont donné la main pour nous interdire de sourire en nous obligeant à arborer un air sévère, renfrogné, voir constipé. Nos photos d’identité sont ainsi devenues des photos anthropométriques dignes de celles qui accompagnent l’arrestation d’un délinquant ou d’un criminel. Le visage doit y être inexpressif. A quand l’obligation de la photo de profil à côté de celle de face ? A quand l’obligation d’être photographié le crâne rasé tant il est vrai que la chevelure pourrait elle aussi perturber le coefficient non intellectuel des algorithmes des logiciels qui scrutent notre morphologie faciale. Les sociétés où le sourire est devenu illégal marquent un sinistre tournant dans l’histoire. Elles nous condamnent au désespoir et à la morosité. La loi est d’autant plus absurde qu’elle impose une photographie de moins de 6 mois pour des papiers valables entre 10 et 15 ans. La règlementation en vigueur date de 2007. En 17 ans, l’IA a fait des progrès considérables. Il serait grand temps d’en tenir compte et de ne plus accepter d’arborer sur nos papiers d’identité l’œil vitreux et l’allure défraîchie du poisson du mardi.
Paroles de prêtres – ep 10
Représentations du handicap et de la folie. Avec Gérard Bonnefon.
23 avril 2024 21h00
Représentations du handicap et de la folie. Avec Gérard Bonnefon.
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