Thématique littérature
Ce mois-ci
septembre
18sep14h0014h30François Cérésa, Total Western AnimateurTerray-Latour AudeÉmissionPoint de suspension
19sep17h0017h30François Cérésa, Total Western AnimateurTerray-Latour AudeÉmissionPoint de suspension
septembre
Violette d’Urso, Même le bruit de la nuit a changé, Flammarion
Invité : Frédéric Pagès, journaliste au Canard enchaîné
Thème : À la rencontre de Botul
Livre : Jean-Baptiste Botul, Freud et le cigare fatal.
Quand on parle de luxe aujourd’hui, on pense d’abord à l’économie, à l’industrie du luxe dans laquelle la France est un acteur majeur. Mais le luxe a bien d’autres aspects : une aspiration à la beauté, à la perfection, ou encore un désir de distinction et d’entre soi, peut-être un révélateur d’inégalité et le goût de l’ostentation…
Ces aspects, Christian Blanckaert ne les néglige pas. Dans le Que sais-je Les 100 mots du luxe, il nous livre une analyse très pointue d’un secteur en pleine transformation face aux nouveaux marchés, à la crise climatique, mais aussi un regard sensible sur les rêves et les comportements des hommes et des femmes… Le luxe, inutile ou nécessaire ?
Violette d’Urso, Même le bruit de la nuit a changé, Flammarion
Parlons d’un livre passionnant, qui n’est pas récent mais dont la nouvelle traduction date de 2024. Il s’agit de L’homme qui vivait sous terre, de Richard Wright.
Richard Wright est, comme dit le cliché, le plus parisien des auteurs américains car il a vécu à Paris entre 1946 et 1960, accueilli au sens du groupe des Temps Modernes de Jean-Paul Sartre, notamment.
Il était né en 1908 à Natchez, dans le Mississipi.
Son roman raconte l’histoire de Fred Daniels, un jeune homme sans histoires, qui se fait arrêter par la police à la fin d’une journée de travail, alors qu’il doit retrouver son épouse sur le point d’accoucher. Un double meurtre a été commis dans le secteur, la police a besoin d’un coupable : ce sera Fred Daniels.
Il est passé à tabac, torturé même. Et puis… hasard, miracle, opportunité saisie au vol, signe divin, chaque lecteur l’interprétera comme il souhaitera : Fred Daniels est emmené à l’hôpital où sa femme accouche et, profitant d’un moment d’inattention des policiers, s’enfuit. Dehors, une plaque d’égout. Il se glisse sous terre.
La suite est composée de cette courte vie étrange, libre et pourtant contrainte, sous les pieds des êtres vivants et en contact avec leurs objets cachés ou mis au rebut, réinterprétés par la plume magnifique d’un auteur inspiré, au style puissant et évocateur.
L’Homme qui vivait sous terre, de Richard Wright, est publié par Christian Bourgois éditeur.
Jean-Noël Orengo. Son livre est une étude au scalpel des grands temps forts de la vie d’ Albert Speer, le metteur en scène, décorateur et architecte préféré d’Hitler. Speer est le favori d’Hitler et il a réussi à sauver sa peau à Nuremberg, en expliquant qu’il n’avait rien su de la Solution finale, s’érigeant habilement en star de la culpabilité allemande. Ses mémoires publiées en 1969 ont été un succès planétaire et ont inspiré romanciers et cinéastes. Les Historiens de l’époque, des témoins mettent à mal sa version mais rien à faire, il devient “le bon nazi” et séduit un rabbin et même Simon Rosenthal qui devient son ami. Une historienne juive se prend de passion pour le personnage. Dans son livre Orengo traque et démonte les mensonges de Speer d’une plume brillante, le lire est vertigineux…
Quand on parle de luxe aujourd’hui, on pense d’abord à l’économie, à l’industrie du luxe dans laquelle la France est un acteur majeur. Mais le luxe a bien d’autres aspects : une aspiration à la beauté, à la perfection, ou encore un désir de distinction et d’entre soi, peut-être un révélateur d’inégalité et le goût de l’ostentation…
Ces aspects, Christian Blanckaert ne les néglige pas. Dans le Que sais-je Les 100 mots du luxe, il nous livre une analyse très pointue d’un secteur en pleine transformation face aux nouveaux marchés, à la crise climatique, mais aussi un regard sensible sur les rêves et les comportements des hommes et des femmes… Le luxe, inutile ou nécessaire ?
Violette d’Urso, Même le bruit de la nuit a changé, Flammarion
Parlons d’un livre passionnant, qui n’est pas récent mais dont la nouvelle traduction date de 2024. Il s’agit de L’homme qui vivait sous terre, de Richard Wright.
Richard Wright est, comme dit le cliché, le plus parisien des auteurs américains car il a vécu à Paris entre 1946 et 1960, accueilli au sens du groupe des Temps Modernes de Jean-Paul Sartre, notamment.
Il était né en 1908 à Natchez, dans le Mississipi.
Son roman raconte l’histoire de Fred Daniels, un jeune homme sans histoires, qui se fait arrêter par la police à la fin d’une journée de travail, alors qu’il doit retrouver son épouse sur le point d’accoucher. Un double meurtre a été commis dans le secteur, la police a besoin d’un coupable : ce sera Fred Daniels.
Il est passé à tabac, torturé même. Et puis… hasard, miracle, opportunité saisie au vol, signe divin, chaque lecteur l’interprétera comme il souhaitera : Fred Daniels est emmené à l’hôpital où sa femme accouche et, profitant d’un moment d’inattention des policiers, s’enfuit. Dehors, une plaque d’égout. Il se glisse sous terre.
La suite est composée de cette courte vie étrange, libre et pourtant contrainte, sous les pieds des êtres vivants et en contact avec leurs objets cachés ou mis au rebut, réinterprétés par la plume magnifique d’un auteur inspiré, au style puissant et évocateur.
L’Homme qui vivait sous terre, de Richard Wright, est publié par Christian Bourgois éditeur.
Jean-Noël Orengo. Son livre est une étude au scalpel des grands temps forts de la vie d’ Albert Speer, le metteur en scène, décorateur et architecte préféré d’Hitler. Speer est le favori d’Hitler et il a réussi à sauver sa peau à Nuremberg, en expliquant qu’il n’avait rien su de la Solution finale, s’érigeant habilement en star de la culpabilité allemande. Ses mémoires publiées en 1969 ont été un succès planétaire et ont inspiré romanciers et cinéastes. Les Historiens de l’époque, des témoins mettent à mal sa version mais rien à faire, il devient “le bon nazi” et séduit un rabbin et même Simon Rosenthal qui devient son ami. Une historienne juive se prend de passion pour le personnage. Dans son livre Orengo traque et démonte les mensonges de Speer d’une plume brillante, le lire est vertigineux…
Quand on parle de luxe aujourd’hui, on pense d’abord à l’économie, à l’industrie du luxe dans laquelle la France est un acteur majeur. Mais le luxe a bien d’autres aspects : une aspiration à la beauté, à la perfection, ou encore un désir de distinction et d’entre soi, peut-être un révélateur d’inégalité et le goût de l’ostentation…
Ces aspects, Christian Blanckaert ne les néglige pas. Dans le Que sais-je Les 100 mots du luxe, il nous livre une analyse très pointue d’un secteur en pleine transformation face aux nouveaux marchés, à la crise climatique, mais aussi un regard sensible sur les rêves et les comportements des hommes et des femmes… Le luxe, inutile ou nécessaire ?
Parlons d’un livre passionnant, qui n’est pas récent mais dont la nouvelle traduction date de 2024. Il s’agit de L’homme qui vivait sous terre, de Richard Wright.
Richard Wright est, comme dit le cliché, le plus parisien des auteurs américains car il a vécu à Paris entre 1946 et 1960, accueilli au sens du groupe des Temps Modernes de Jean-Paul Sartre, notamment.
Il était né en 1908 à Natchez, dans le Mississipi.
Son roman raconte l’histoire de Fred Daniels, un jeune homme sans histoires, qui se fait arrêter par la police à la fin d’une journée de travail, alors qu’il doit retrouver son épouse sur le point d’accoucher. Un double meurtre a été commis dans le secteur, la police a besoin d’un coupable : ce sera Fred Daniels.
Il est passé à tabac, torturé même. Et puis… hasard, miracle, opportunité saisie au vol, signe divin, chaque lecteur l’interprétera comme il souhaitera : Fred Daniels est emmené à l’hôpital où sa femme accouche et, profitant d’un moment d’inattention des policiers, s’enfuit. Dehors, une plaque d’égout. Il se glisse sous terre.
La suite est composée de cette courte vie étrange, libre et pourtant contrainte, sous les pieds des êtres vivants et en contact avec leurs objets cachés ou mis au rebut, réinterprétés par la plume magnifique d’un auteur inspiré, au style puissant et évocateur.
L’Homme qui vivait sous terre, de Richard Wright, est publié par Christian Bourgois éditeur.
Jean-Noël Orengo. Son livre est une étude au scalpel des grands temps forts de la vie d’ Albert Speer, le metteur en scène, décorateur et architecte préféré d’Hitler. Speer est le favori d’Hitler et il a réussi à sauver sa peau à Nuremberg, en expliquant qu’il n’avait rien su de la Solution finale, s’érigeant habilement en star de la culpabilité allemande. Ses mémoires publiées en 1969 ont été un succès planétaire et ont inspiré romanciers et cinéastes. Les Historiens de l’époque, des témoins mettent à mal sa version mais rien à faire, il devient “le bon nazi” et séduit un rabbin et même Simon Rosenthal qui devient son ami. Une historienne juive se prend de passion pour le personnage. Dans son livre Orengo traque et démonte les mensonges de Speer d’une plume brillante, le lire est vertigineux…
Quand on parle de luxe aujourd’hui, on pense d’abord à l’économie, à l’industrie du luxe dans laquelle la France est un acteur majeur. Mais le luxe a bien d’autres aspects : une aspiration à la beauté, à la perfection, ou encore un désir de distinction et d’entre soi, peut-être un révélateur d’inégalité et le goût de l’ostentation…
Ces aspects, Christian Blanckaert ne les néglige pas. Dans le Que sais-je Les 100 mots du luxe, il nous livre une analyse très pointue d’un secteur en pleine transformation face aux nouveaux marchés, à la crise climatique, mais aussi un regard sensible sur les rêves et les comportements des hommes et des femmes… Le luxe, inutile ou nécessaire ?
Le lien et la part d’ombre
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Victor Malzac : Créatine (Gallimard – Collection Scribes)
Eloge sentimental de la mémoire et du lien 3e Episode
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Entretien avec Lara Danguy des Deserts de la revue Délibérée. Heurs et malheurs de la justice française
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Savez-vous que dans les années 60, et même en mai 68, la vie mondaine à Paris donnait sa place aux personnalités du régime de Vichy ? Avec les carnets de Josée Laval, retrouvés par Yves Pourcher, nous pénétrons au cœur d’une « sociabilité » où se retrouvent, dans de grandes réceptions ou des diners privés, sur les champs de courses ou lors de croisières, dans les cimetières et cérémonies de mariage, dans les théâtres ou chez les grands couturiers, des académiciens et des journalistes, des artistes et des aristocrates, des hommes d’affaires, des avocats, des commerçants et des amuseurs… Et en même temps, on découvre comment ces années furent celles du changement avec l’arrivée à l’âge adulte de ceux qui étaient nés après la guerre…
« Les carnets retrouvés de Josée Laval 1964-1969 » Ed du Cerf
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