Ses émissions

Peut-on penser notre monde ?

Chantal Delsol et Joanna Nowicki, philosophes

Nous vivons un de ces moments historiques qui ne se laissent point aisément décrypter…
Notre planète « mondialisée » s ‘affronte parfois violemment sur des valeurs et des conceptions antagonistes. Le monde est souvent pensé comme un espace où ne règne point l’universel, où l’Occident n’est plus le maître.

Dans une nouvelle revue, l’on essaye de comprendre ce qui surgit et déstabilise nos modes de pensée traditionnels, nous laissant parfois dubitatifs quant à l’avenir.

« Odysseus » , Un tour du monde des idées, 2023/ 2024

Peut-on penser notre monde ?

Chantal Delsol et Joanna Nowicki, philosophes

Nous vivons un de ces moments historiques qui ne se laissent point aisément décrypter…
Notre planète « mondialisée » s ‘affronte parfois violemment sur des valeurs et des conceptions antagonistes. Le monde est souvent pensé comme un espace où ne règne point l’universel, où l’Occident n’est plus le maître.

Dans une nouvelle revue, l’on essaye de comprendre ce qui surgit et déstabilise nos modes de pensée traditionnels, nous laissant parfois dubitatifs quant à l’avenir.

« Odysseus » , Un tour du monde des idées, 2023/ 2024

Peut-on penser notre monde ?

Chantal Delsol et Joanna Nowicki, philosophes

Nous vivons un de ces moments historiques qui ne se laissent point aisément décrypter…
Notre planète « mondialisée » s ‘affronte parfois violemment sur des valeurs et des conceptions antagonistes. Le monde est souvent pensé comme un espace où ne règne point l’universel, où l’Occident n’est plus le maître.

Dans une nouvelle revue, l’on essaye de comprendre ce qui surgit et déstabilise nos modes de pensée traditionnels, nous laissant parfois dubitatifs quant à l’avenir.

« Odysseus » , Un tour du monde des idées, 2023/ 2024

Peut-on penser notre monde ?

Chantal Delsol et Joanna Nowicki, philosophes

Nous vivons un de ces moments historiques qui ne se laissent point aisément décrypter…
Notre planète « mondialisée » s ‘affronte parfois violemment sur des valeurs et des conceptions antagonistes. Le monde est souvent pensé comme un espace où ne règne point l’universel, où l’Occident n’est plus le maître.

Dans une nouvelle revue, l’on essaye de comprendre ce qui surgit et déstabilise nos modes de pensée traditionnels, nous laissant parfois dubitatifs quant à l’avenir.

« Odysseus » , Un tour du monde des idées, 2023/ 2024

Simon Leys, ou les deux langues.

Jérôme Michel, conseiller d’Etat, enseigne le droit public à l’université Paris-Cité et à l’Université du Caire.

Dans un monde perturbé par la « fausse parole » totalitaire, prisonnier des slogans usés, Simon Leys a incarné, avec brio et constance, le monde du réel, celui qui cherche, modestement, sa part de vérité.
Alors que les intellectuels occidentaux sombraient dans le délire pur, il a réhabilité, suscitant colère et incompréhension, la notion de fait…et celle d’individu, face à la poussée de masses fanatisées, manipulées par le pouvoir politique. Hostile à la politique, il a plaidé pour la littérature, celle qui dit la vérité du monde.

Jérôme Michel, « Vivre dans la vérité et aimer les crapauds »,
Coll. Le bien commun, Michalon Editeur

Simon Leys, ou les deux langues.

Jérôme Michel, conseiller d’Etat, enseigne le droit public à l’université Paris-Cité et à l’Université du Caire.

Dans un monde perturbé par la « fausse parole » totalitaire, prisonnier des slogans usés, Simon Leys a incarné, avec brio et constance, le monde du réel, celui qui cherche, modestement, sa part de vérité.
Alors que les intellectuels occidentaux sombraient dans le délire pur, il a réhabilité, suscitant colère et incompréhension, la notion de fait…et celle d’individu, face à la poussée de masses fanatisées, manipulées par le pouvoir politique. Hostile à la politique, il a plaidé pour la littérature, celle qui dit la vérité du monde.

Jérôme Michel, « Vivre dans la vérité et aimer les crapauds »,
Coll. Le bien commun, Michalon Editeur

Simon Leys, ou les deux langues.

Jérôme Michel, conseiller d’Etat, enseigne le droit public à l’université Paris-Cité et à l’Université du Caire.

Dans un monde perturbé par la « fausse parole » totalitaire, prisonnier des slogans usés, Simon Leys a incarné, avec brio et constance, le monde du réel, celui qui cherche, modestement, sa part de vérité.
Alors que les intellectuels occidentaux sombraient dans le délire pur, il a réhabilité, suscitant colère et incompréhension, la notion de fait…et celle d’individu, face à la poussée de masses fanatisées, manipulées par le pouvoir politique. Hostile à la politique, il a plaidé pour la littérature, celle qui dit la vérité du monde.

Jérôme Michel, « Vivre dans la vérité et aimer les crapauds »,
Coll. Le bien commun, Michalon Editeur

Simon Leys, ou les deux langues.

Jérôme Michel, conseiller d’Etat, enseigne le droit public à l’université Paris-Cité et à l’Université du Caire.

Dans un monde perturbé par la « fausse parole » totalitaire, prisonnier des slogans usés, Simon Leys a incarné, avec brio et constance, le monde du réel, celui qui cherche, modestement, sa part de vérité.
Alors que les intellectuels occidentaux sombraient dans le délire pur, il a réhabilité, suscitant colère et incompréhension, la notion de fait…et celle d’individu, face à la poussée de masses fanatisées, manipulées par le pouvoir politique. Hostile à la politique, il a plaidé pour la littérature, celle qui dit la vérité du monde.

Jérôme Michel, « Vivre dans la vérité et aimer les crapauds »,
Coll. Le bien commun, Michalon Editeur

Vers un changement de cap ?

Joseph Thouvenel, syndicaliste, directeur de publication de la revue « Capital social »

Nous nous préparons sans doute à l’arrivée d’une nouvelle politique économique à la rentrée. Piégé par une dette qu’il n’arrive pas à contrôler, le gouvernement s’affole et
cherche -frénétiquement- des solutions valables pour tous les Français. Allons- nous vers un durcissement néo-libéral ? Notre modèle d’Etat-Providence, pour parler comme
Bruno Le Maire, va-t-il se transformer en un modèle d’Etat Protecteur ? Une crise sociale grave nous menace-t-elle ?

« Capital social », n°7

Vers un changement de cap ?

Joseph Thouvenel, syndicaliste, directeur de publication de la revue « Capital social »

Nous nous préparons sans doute à l’arrivée d’une nouvelle politique économique à la rentrée. Piégé par une dette qu’il n’arrive pas à contrôler, le gouvernement s’affole et
cherche -frénétiquement- des solutions valables pour tous les Français. Allons- nous vers un durcissement néo-libéral ? Notre modèle d’Etat-Providence, pour parler comme
Bruno Le Maire, va-t-il se transformer en un modèle d’Etat Protecteur ? Une crise sociale grave nous menace-t-elle ?

« Capital social », n°7

Vers un changement de cap ?

Joseph Thouvenel, syndicaliste, directeur de publication de la revue « Capital social »

Nous nous préparons sans doute à l’arrivée d’une nouvelle politique économique à la rentrée. Piégé par une dette qu’il n’arrive pas à contrôler, le gouvernement s’affole et
cherche -frénétiquement- des solutions valables pour tous les Français. Allons- nous vers un durcissement néo-libéral ? Notre modèle d’Etat-Providence, pour parler comme
Bruno Le Maire, va-t-il se transformer en un modèle d’Etat Protecteur ? Une crise sociale grave nous menace-t-elle ?

« Capital social », n°7

Vers un changement de cap ?

Joseph Thouvenel, syndicaliste, directeur de publication de la revue « Capital social »

Nous nous préparons sans doute à l’arrivée d’une nouvelle politique économique à la rentrée. Piégé par une dette qu’il n’arrive pas à contrôler, le gouvernement s’affole et
cherche -frénétiquement- des solutions valables pour tous les Français. Allons- nous vers un durcissement néo-libéral ? Notre modèle d’Etat-Providence, pour parler comme
Bruno Le Maire, va-t-il se transformer en un modèle d’Etat Protecteur ? Une crise sociale grave nous menace-t-elle ?

« Capital social », n°7

Guerre économique : quels scénarios pour l’avenir ?

Christian Harbulot, directeur de l’Ecole de guerre économique

Notre siècle est le théâtre d’une nouvelle forme de guerre dépassant -et amplifiant décisivement- la guerre militaire classique : la guerre économique. Empruntant des chemins divers, elle vise surtout à contrôler, à dominer…plutôt qu’à détruire. Notre pays a bien du mal à se reconnaître dans ces stratégies dites d’influence. Il lui faut, toutes affaires cessantes, répudier son individualisme pour s’engager enfin dans une culture collective du combat donnant toute sa place à la notion de nation.

Guerre économique : quels scénarios pour l’avenir ?

Christian Harbulot, directeur de l’Ecole de guerre économique

Notre siècle est le théâtre d’une nouvelle forme de guerre dépassant -et amplifiant décisivement- la guerre militaire classique : la guerre économique. Empruntant des chemins divers, elle vise surtout à contrôler, à dominer…plutôt qu’à détruire. Notre pays a bien du mal à se reconnaître dans ces stratégies dites d’influence. Il lui faut, toutes affaires cessantes, répudier son individualisme pour s’engager enfin dans une culture collective du combat donnant toute sa place à la notion de nation.